Au Canada, une femme de 45 ans a commencé à avoir des relations intimes avec un chêne après avoir ressenti une forte connexion en s’allongeant dessus.
Sonja Semyonova est une Canadienne âgée de 45 ans. Cette dernière est une adepte de l’écosexualité, un mouvement militant et spirituel qui incite à aimer la terre comme son «amante» pour mieux la préserver, expliquent nos confrères de Midi libre.
De son côté, la quadragénaire a commencé à avoir des relations intimes avec un chêne. Celle qui s’est toujours sentie seule affirme que sa nouvelle relation avec l’arbre a comblé un vide dans sa vie.
Crédit Photo : Sonja Semyonova
Selon ses dires, tout a commencé lors du confinement lié à la pandémie de Covid-19 en 2021. À l’époque, Sarah - qui vit sur l’île de Vancouver - a pris l’habitude de se promener pour prendre l’air. Elle passait souvent devant un grand chêne près de chez elle.
«J'ai remarqué qu'il y avait un lien avec l’arbre. Je m’allongeais sur lui (…) Il y avait un certain érotisme à ce que quelque chose d'aussi grand et d'aussi vieux me soutienne», explique la Canadienne dans les colonnes du Daily Mail.
Crédit Photo : istock
«C’est une manière différente d’explorer l’érotisme»
La Canadienne précise qu’elle ne s’engage pas dans des actes physiques avec l’arbre et que les sentiments qu’elle ressent dans la nature ne sont pas les mêmes que ceux de la sexualité humaine.
«Les gens pensent que l’écosexualité signifie coucher avec la nature. C’est une idée fausse. Il s’agit d’une manière différente d’explorer l’érotisme. Par exemple, observer le changement des saisons est pour moi un acte érotique(…)», confie la quadragénaire.
Crédit Photo : Sonja Semyonova
Sonja pense que tout le monde devrait avoir des expériences écosexuelles : «C’est déjà le cas chez beaucoup de gens. Ce n’est pas pour rien si nous aimons pique-niquer dans les parcs et faire des randonnées dans la nature (…)».