Il y a un an, Jonathan et Marine Dupré, vivant à Gauville près d'Aumale, ont appris que leur fille Naëlle était atteinte d’un cancer du rein. Résultat : elle a dû subir une intervention chirurgicale pour retirer sa tumeur, et 31 semaines de chimiothérapie. Sans compter une infection pulmonaire de Naëlle qui s’est ajoutée…
@bray_info / Twitter
Pour les parents, gérer la vie au travail et les soins de leur n’a pas été de tout repos. En effet, Jonathan avait consommé cette année tous ses jours de repos suite aux différents rendez-vous médicaux pris pour Naëlle. Et commençait à entrer dans une phase délicate pour gérer la maladie de sa fille par rapport à son travail.
C'est alors que le chef de l'atelier et les employés de l'entreprise de la verrerie de Pochet du Courval, à Sénarpont, où il travaille, se sont mobilisés. Ils ont en effet usé de la loi du 9 mai 2014 permettant de faire des dons de RTT : “Mon chef d’atelier a compris nos difficultés. Il a alors eu l’idée de collecter des jours de repos auprès de mes collègues. Il m’a parlé de la loi du 9 mai 2014 qui permet le don de jours de repos ou de vacances quand on a un enfant malade. Nous avons pris rendez-vous avec la direction des ressources humaines de l’entreprise qui a accepté l’idée” explique Jonathan. Au total, il a récolté pas moins de 350 jours de repos.
La nouvelle a été un véritable soulagement pour la petite famille en cette période difficile : “Je suis très contente que papa reste à la maison avec moi" a déclaré la petite Naëlle à l’hebdomadaire Le Réveil de Neufchâtel. “C’était un poids en moins pour nous. Nous n’avons plus de problèmes de garde, de déplacements pour les examens et les traitements” a enrichi Jonathan.
Naëlle est à présent en rémission, et a même repris l'école à la rentrée dernière. La petite se remet donc doucement mais sûrement de ses lourds traitements et peut maintenant avoir le soutien à temps plein de ses parents, en toute sérénité.
La loi du 9 mai 2014 montre bien qu'en situation d'urgence, le don de RTT est vraiment nécessaire. Un beau geste montrant qu’on n’est jamais trop solidaire !
C'est alors que le chef de l'atelier et les employés de l'entreprise de la verrerie de Pochet du Courval, à Sénarpont, où il travaille, se sont mobilisés. Ils ont en effet usé de la loi du 9 mai 2014 permettant de faire des dons de RTT : “Mon chef d’atelier a compris nos difficultés. Il a alors eu l’idée de collecter des jours de repos auprès de mes collègues. Il m’a parlé de la loi du 9 mai 2014 qui permet le don de jours de repos ou de vacances quand on a un enfant malade. Nous avons pris rendez-vous avec la direction des ressources humaines de l’entreprise qui a accepté l’idée” explique Jonathan. Au total, il a récolté pas moins de 350 jours de repos.
La nouvelle a été un véritable soulagement pour la petite famille en cette période difficile : “Je suis très contente que papa reste à la maison avec moi" a déclaré la petite Naëlle à l’hebdomadaire Le Réveil de Neufchâtel. “C’était un poids en moins pour nous. Nous n’avons plus de problèmes de garde, de déplacements pour les examens et les traitements” a enrichi Jonathan.
Naëlle est à présent en rémission, et a même repris l'école à la rentrée dernière. La petite se remet donc doucement mais sûrement de ses lourds traitements et peut maintenant avoir le soutien à temps plein de ses parents, en toute sérénité.
La loi du 9 mai 2014 montre bien qu'en situation d'urgence, le don de RTT est vraiment nécessaire. Un beau geste montrant qu’on n’est jamais trop solidaire !