10 histoires d'horreur que des étudiants ont vécu à la fac !

Histoires bizarres, colocataires glauques ou complètement timbrés, malaise en résidence universitaire : certains étudiants ont vécu de véritables histoires d'horreur, dont ils se souviendront probablement toute leur vie !

Si on ne vous souhaite évidemment pas de vivre de telles atrocités, nul doute que vous prendrez plaisir à les lire... Et n'hésitez pas à nous faire part de vos propres mésaventures !

Universal pictures

1. 

« J'avais une colocataire qui, pour une raison que j'ignore, me détestait. Un matin, aux alentours de 3 heures du matin, je l'ai retrouvée debout au-dessus de moi, immobile, avec un couteau à beurre. Elle avait réussi à pénétrer dans ma chambre, pourtant fermée à clé, et me regardait fixement. Ça m'a fait complètement flipper. Je lui ai dit qu'elle était folle. Quelques heures plus tard, alors que je partais en cours, elle est restée debout sur le perron de la porte, en hurlant ''Je suis pas folle ! Je ne suis pas folle !''. C'est sûr, si tu le dis... »

2.

« L'une de mes colocs de fac avait pris l'habitude de m'asperger d'eau bénite en secret, lorsqu'elle pensait que j'étais endormie. »

3.

« Un jour, un écureuil a pénétré dans ma chambre d'étudiant parce que le carreau de ma fenêtre était cassé. Je me suis réveillé un matin, et je l'ai trouvé en train de se balader dans l'appartement. Même après qu'on a réussi à le choper et à le mettre dehors, il revenait sans cesse à la fenêtre, comme pour nous hanter. »

4. 

« J'ai eu le malheur de découvrir un jour mon coloc en train de se raser les boules avec le rasoir que j'utilisais pour mon visage. Il m'a ensuite avoué qu'il l'avait utilisé plus d'une douzaine de fois à cet effet... »

5.

« Dans ma résidence étudiante, on avait un « chieur fou » anonyme. Il s'était fait une spécialité de chier dans les cages d'escalier régulièrement, et il laissait même d'obscurs messages cryptiques qu'il collait aux portes. L'un d'eux disait, « Tu ne sais pas où, tu ne sais pas quand, mais je frapperai encore. Signé, le chieur fou.»

6.

« Ma première coloc et son copain miaulaient en guise de préliminaires. Oui, vous avez bien lu, ils miaulaient. Comme des chats. »

7.

« J'ai eu un colocataire qui était une fois rentré complètement saoûl, et qui avait pissé sur la gazinière. Du coup, à chaque fois qu'on cuisinait un truc, ça sentait la pisse chaude. Merci, connard. »

8.

« L'une de mes colocs était connue pour être toujours à la bourre sur ses exposés. Lorsqu'est venue la date du rendu de son mémoire, ça n'a pas été de la tarte. J'étais déjà au lit, essayant de passer une bonne nuit de sommeil pour mon partiel d'histoire de l'art qui avait lieu à 8 heures du matin, quand ma colocataire déboule en tempête dans ma chambre, m'expliquant frénétiquement qu'il fallait déménager tous les objets importants parce qu'il fallait qu'elle inonde l'appartement. Elle était complètement sérieuse. Elle allait inonder l'appartement, pour que les dégâts des eaux détruisent son travail sur lequel elle avait pris beaucoup trop de retard (elle venait de réaliser qu'elle n'avait plus aucune chance de le terminer à temps), appeler ensuite le directeur, et obtenir une permission pour rendre son travail plus tard à cause des circonstances imprévues. Mais, m'expliqua-t-elle ensuite, on ne devait déménager que les choses les plus précieuses uniquement. Sinon, si tous nos biens matériels s'en tiraient indemnes, cela risquerait de paraître suspect !
Fort heureusement, mon autre coloc et moi avons réussi à lui faire abandonner son idée à la con, mais si nous n'avions pas été là, je suis absolument certaine qu'elle serait passée à l'acte et qu'elle l'aurait fait ! »

9.

« Quand j'étais en première année, ma coloc s'était inscrite dans une formation de biologie. Un après-midi, je suis rentrée au dortoir et je l'ai retrouvée en train de disséquer un cœur de porc ainsi que des poumons sur son bureau, comme si c'était la chose la plus normale du monde. »

10.

« Un jour, j'ai remarqué que ma coloc un peu dingue avait un truc qui pendait de son sac à dos. Quand je me suis approchée et que j'ai regardé de plus près, j'ai compris que c'était une poupée vaudou miniature — qui me ressemblait. »

Vous voulez de vraies histoires d'horreur universitaires ? Vous allez adorer Happy Birthdead, de Christopher Landon, dont la sortie est prévue le 15 novembre !

Prisonnière d’une boucle temporelle, Teresa, étudiante, revit sans cesse le jour de son meurtre. Une journée apparemment banale qui s’achève systématiquement par sa mort atroce. Finira-t-elle par découvrir l’identité de son tueur ?


VOIR TOUS LES COMMENTAIRES