Laureline (Cara Delevingne) et Valérian (Dane DeHaan) plus soudés que jamais dans la génialissime nouvelle bande-annonce de « Valérian et la Cité des Mille Planètes », on a hâte !

Alerte bande-annonce explosive pour « Valérian et la Cité des Mille Planètes », une deuxième bande-annonce acidulée, mouvementée, endiablée, vive, surprenante, à couper le souffle, bref : on a hâte. Mais alors, vraiment, hâte :



« C’est la plus grande aventure de ma vie. » Dans la bouche de Luc Besson, réalisateur français de tous les records et acclamé des deux côtés de l’Atlantique — qui fût notamment aux manettes des films Le Grand Bleu, Léon, Nikita, Le Cinquième Élément, Arthur et les Minimoys, et plus récemment Lucy — cette phrase vaut sans doute mieux que mille bandes-annonces.

Pour rappel, Valérian et la Cité des Mille Planètes est un film qui relate des aventures de deux agents spatio-temporels, Valérian (Dane DeHaan, nouveau visage dans le paysage cinématographique que l’on avait cependant aperçu dans The Amazing Spider Man) et Laureline (Cara Delevingne ; La face cachée de Margo ; Suicide Squad) chargés d’une enquête périlleuse au sein de la station orbitale « Alpha », lieu de commerce et d’échanges entre 8 000 espèces différentes.

Crédit photo : EuropaCorp


C’est 20 ans après Le Cinquième Élément, que Luc Besson revient à ses premières amours, rendant par la même occasion hommage au petit garçon qu’il était, en adaptant « Valérian contre les mauvais rêves » — bande dessinée française dont il était tombé amoureux enfant. Car si l’histoire reste la même, c’est en 1967 que les aventures de Valérian ont été publiées pour la première fois dans Pilote, une revue consacrée spécialement à la BD.

Tirée plus particulièrement du tome 6 de la saga, « L’ambassadeur des ombres » (1975), Luc Besson s’est même entouré de ses créateurs originaux pour mener à bien la réalisation de son film, Pierre Christin et Jean-Claude Mézières — pas étrangers au cinéma de Besson puisqu’ils avaient déjà collaboré sur Le Cinquième Élément.

Planté en l’an 2040, le 17ème long-métrage de Luc Besson promet d’apporter un vent de fraîcheur largement mérité dans le monde surexploité, et souvent peu réinventé, de la science-fiction.
Annoncé en salles le 21 juillet prochain, c’est aussi le film le plus cher de l’histoire du cinéma français, avec un budget colossal de 190 millions d’euros, assurant : 7 plateaux de tournage, 24 décors déroulés surplus de 30 000 mètres carrés, plus de 1 000 employés, 2 années de post-production pour les effets spéciaux, présents dans chacune des scènes dudit long-métrage. No pressure.

Crédit photo : EuropaCorp


Sur le tapis rouge de l’avant-première, on attendra aussi Rihanna et Clive Owen (Closer ; Sin City). Pour rappel, voici le synopsis : « Nous sommes en 2740. Valérian et Laureline sont deux agents spatio-temporels. À bord de leur vaisseau «l'Intruder», ils sillonnent l'espace et le temps afin d'accomplir les différentes missions que leur confie le Pouvoir Central. Cette nouvelle aventure les emmène sur la station orbitale «Alpha» qui abrite 17 millions d'individus venant des quatre coins de l'univers. Près de 8000 espèces différentes y échangent leurs connaissances et leurs savoirs, leurs technologies et leurs pouvoirs. Le pire endroit pour mener une enquête... »


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