Surnommé « Sperminator », il est le père de... 165 enfants à travers le monde

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Aux États-Unis, le dénommé Ari Nagel, connu pour être un donneur de sperme très prolifique, a annoncé qu’il allait prendre sa retraite. Une décision prise après la naissance de 165ème enfant, qui ne sera pas la dernier.

Comme en France, le dimanche 16 juin était le jour de la fête des pères aux États-Unis. Parmi tous les pères, Ari Nagel fait figure de géniteur plutôt exceptionnel. Professeur de mathématiques originaire de Brooklyn, il est connu pour être le donneur de sperme le plus prolifique du pays. Une réputation qui lui vaut le drôle de surnom de “Sperminator”.

Âgé de 48 ans, Ari Nagel vient tout simplement d’assister à la naissance de son… 165ème enfant. Interrogé par le New York Post à l’occasion de la fête des pères, il a révélé que le temps serait bientôt venu pour lui d’arrêter le don de sperme : “Physiquement, je peux continuer, mais il peut y avoir des risques accrus de choses comme de l’autisme chez l’enfant quand le père biologique est plus âgé”.

Crédit photo : Ari Nagel

Ainsi, Ari Nagel compte prendre sa retraite de donneur de sperme dès qu’il passera le cap de la cinquantaine, soit dans deux ans. En attendant, il continue de remettre des échantillons de sa semence à une ou deux mères potentielles, chaque semaine.

10 femmes enceintes réparties sur quatre continents

S’il vient d’assister à la naissance de son 165ème enfant, il précise garder un contact très proche avec tous les enfants que sa semence a permis de créer. Ari Nagel ne se contente pas de donner son sperme, il tient à faire partie de leur vie du mieux qu’il peut. Il précise notamment consigner dans un tableau tous les noms, les adresses, les dates d’anniversaire et numéros de téléphone de ses enfants.

Crédit photo : Ari Nagel

En attendant sa retraite, Sperminator n’en a pas terminé puisqu’il révèle avoir actuellement “10 femmes enceintes aux États-Unis, au Canada, en Asie, en Afrique et en Europe”.

Un mode de vie particulier qui se répercute naturellement sur sa vie privée puisqu’il est toujours célibataire : “Ce n’est pas facile de trouver une femme qui veut sortir avec un gars qui a 165 enfants et 10 femmes enceintes”. D’autant plus que son salaire de professeur de mathématiques ne lui permet pas de rouler sur l'or non plus.

Source : New York Post

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Au sujet de l'auteur : Jérémy Birien

Journaliste, rédacteur en chef