Erika LaBrie est une jeune femme tout ce qu’il y a de plus normal. À ceci près qu’elle a une attirance sexuelle pour les objets.
Crédit : TLC via LadBible
Dans un documentaire sorti en 2016, Erika LaBrie, une Néo-Zélandaise, racontait son attraction peu commune pour les objets. Dans ce documentaire, la jeune femme définissait son orientation sexuelle comme Objectum Sexual. Aussi appelée objectophilie ou objetsexualité, il s’agit d’une orientation sexuelle ou sentimentale d’une personne pour des objets inanimés.
Cette attirance reste encore relativement peu répandue, mais on se rappelle de l’Anglaise Amanda, amoureuse d’un lustre ou encore de Rain, une Russe qui s’était mariée à … sa mallette.
Il y a six ans, Erika LaBrie avait fait parler d’elle après que le New Zealand Herald avait raconté que la jeune femme avait épousé nulle autre que notre bonne vieille Tour Eiffel en 2007. Mais après 10 ans de bonheur, Erika LaBrie avait mis un terme à son mariage.
Tombée sous le charme… d’une clôture
Crédit : TLC via LadBible
Dans le documentaire qui lui est consacré, Erika LaBrie avoue être particulièrement attirée par les clôtures. « Les clôtures sont des objets si dangereux pour moi parce qu'elles sont si parfaites dans leur géométrie. Je veux dire, je dois avouer qu'il se passe beaucoup de choses physiques en ce moment. Je suis physiquement attirée par cette clôture et j'aimerais mieux la connaître », explique-t-elle dans un passage.
Crédit : New Zealand Herald
Suite à cette annonce pour le moins étrange pour la plupart d’entre nous, la jeune femme est filmée en train de parler à la clôture sur laquelle elle s’est assise à califourchon. « Je ne m'attendais pas du tout à trouver une clôture comme celle-ci ici. Je veux dire, c'est la forme que j'aime tant. Ces angles ? Fabuleux », admet Erika qui qualifie sa nouvelle moitié de « parfaite ».
Une nouvelle histoire qui commence ?