Une banque américaine a récemment commis une erreur pour le moins surprenante : elle a versé plus de 80 000 milliards de dollars sur le compte de l’un de ses clients.
Citigroup est une banque américaine basée à New York. Récemment, cette entreprise a fait parler d’elle dans les médias internationaux, et ce, pour une raison hallucinante.
Selon les informations du Financial Times, relayées par Le Parisien, l’établissemnt bancaire a commis une énorme erreur lors d’une transaction. Une boulette qui a failli lui coûter cher.
Comme le rapportent nos confrères, la banque a crédité par inadvertance 81 000 milliards de dollars (environ 78 000 milliards d’euros) sur le compte d’un client à la place de 280 dollars (près de 270 euros).
Dans le détail, cette somme faramineuse représente 200 fois la fortune du milliardiaire Elon Musk, souligne Le Parisien.
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Un responsable repère l’erreur
Comment une telle situation a-t-elle pu se produire ? Cette bévue d’un montant colossal a été commise par deux employés de la société. Ces derniers n’ont pas vérifié le montant de l’opération avant de l’envoyer.
L’erreur a été repérée par un responsable, qui a stoppé la transaction 90 minutes plus tard. Cet incident a été signalé auprès de la Réserve fédérale américaine du Bureau du contrôleur de la monnaie.
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« Bien qu’un paiement de cette taille n’ait pas pu être exécuté, nos contrôles de détection ont rapidement identifié l’erreur de saisie entre deux comptes du grand livre de Citi et nous avons annulé l’écriture », a indiqué un porte-parole de Citigroup.
Avant d’ajouter :
« Nos contrôles préventifs auraient également empêché toute sortie de fonds de la banque, a déclaré un porte-parole de Citigroup. Bien que cet épisode n’ait eu aucun impact sur la banque ou notre client, il souligne nos efforts continus pour continuer à éliminer les processus manuels et à automatiser les contrôles tout au long de notre transformation ».
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Le hic ? Ce n’est pas la première fois que la banque new-yorkaise commet une telle erreur. En 2020, cette dernière a versé, par accident, 900 millions de dollars aux créanciers de la société de cosmétiques Revlon.
