La mère de famille et ses enfants s’opposent dans une triste querelle au sujet de la maison familiale.
Les choses ont tourné au vinaigre pour cette mère de famille anonyme et ses trois enfants lorsque ces derniers ont appris que la maison de leur enfance était en vente. Ce choix, c’est celui de leur mère, une septuagénaire qui ne parvient plus à vivre dans cette maison depuis la mort de son mari. Pour cette Britannique, c’est un « rappel constant » de ce dernier.
Sauf que les enfants ne sont pas d’accord avec cette décision. Leur mère pensait qu’ils comprendraient, d’autant plus qu’elle espérait gagner un peu d’argent au cas où elle en aurait besoin plus tard, par exemple pour payer des frais médicaux.
Mais les enfants ne voient pas cette vente de la même façon. D’après leur mère, ils ont laissé éclater leur colère, et l’ont accusé de « détruire leurs souvenirs d’enfance et les derniers souvenirs de leur père en vendant la maison familiale ». Aujourd’hui, ils exigent que leur mère leur cède la propriété.
« Je suis absolument dégoûtée par leur comportement »
Pour tenter de la convaincre, les trois enfants ont assuré qu’ils loueraient la maison. De cette façon, leur mère pourrait toujours toucher un peu d’argent qui lui permettrait de vivre. Cependant, cette dernière a refusé car elle ne veut plus habiter dans cette maison. Devant ce non catégorique, les enfants ont fait appel à un avocat afin de « l'empêcher légalement » de vendre la maison.
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« Ils prétendent que c’est leur héritage et que j’essaie de leur cacher l’argent, écrit avec désespoir leur maman dans un courrier adressé à une spécialiste des relations dans le Daily Mail. La dernière chose que je voulais à ce stade de ma vie était de m'impliquer dans une horrible querelle de famille. Je suis absolument dégoûtée par leur comportement et je n’arrive pas à comprendre à quel point ils sont égoïstes ».
La mère de famille estime que son mari serait « furieux » du comportement de ses enfants. Afin d’éviter la querelle, la septuagénaire se dit prête à céder à leurs pressions afin de pouvoir « vivre en paix sans la menace d’un procès ».
Face à cette triste situation, la spécialiste a proposé à la septuagénaire d’annoncer à ses enfants qu’elle acceptait de « les aider à ‘financer’ l’achat de la maison en échange d’une allocation mensuelle lui permettant de vivre ». Malgré ce compromis, la mère de famille craint que rien ne puisse effacer le « traumatisme émotionnel » de ses enfants.
