Après leur procès très médiatisé, les deux ex-époux sont finalement parvenus à un accord. La somme de 1 million de dollars due par l’actrice a été reversée à cinq associations caritatives choisies par Johnny Depp.
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Le règlement de 1 million de dollars a été convenu à la suite du procès en diffamation après les poursuites de Johnny Depp contre son ex-femme Amber Heard, qui avait écrit un article d’opinion pour le Washington Post.
L’acteur de Pirates des Caraïbes lui réclamait 50 millions de dollars, tandis que l’actrice de Aquaman avait émis une demande reconventionnelle de 100 millions de dollars. Ce qui avait résulté, en 2022, à un procès retentissant entre les deux acteurs.
Près d’un an après un procès qui avait fait les choux gras des réseaux sociaux, le tabloïd américain TMZ rapporte que Amber Heard a réglé la somme de 1 million de dollars.
Le règlement judiciaire réparti entre cinq associations caritatives
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À l’issue de ce procès gagné par Johnny Depp, Amber Heard a d’abord été condamnée à lui verser 15 millions de dollars de dommages-intérêts. Une somme qui a ensuite été réduite à 10 millions de dollars avant d’être une nouvelle fois réduite à 2, puis 1 million de dollars.
Amber Heard a depuis payé le règlement judiciaire de 1 million de dollars, couvert par son assurance, comme convenu avec son ex-époux. Johnny Depp a ensuite choisi de reverser équitablement l’argent entre cinq associations caritatives de son choix, rapporte TMZ.
200 000 dollars (soit 185 140 euros) seront donc reversés à chacune des cinq associations qui lui tiennent à coeur : Make-A-Film Foundation qui collabore avec des enfants gravement malades pour les aider à réaliser des courts-métrages ; The Painted Turtle, une association fondée par Paul Newman, idole de Depp, et qui propose une expérience de camping pour les enfants souffrant de graves problèmes de santé ; Red Feather qui vient en aide aux Amérindiens ; la Tetiaroa Society chère à une autre de ses idoles, Marlon Brando, qui s’efforce de préserver l’écosystème de l’île du Pacifique ; enfin, l'Amazonia Fund Alliance qui protège les communautés autochtones de l’Amazonie.
Un procès malheureux qui aura au moins permis de faire une bonne action.
