Pour déconnecter dans les règles de l’art et redécouvrir le surprenant terroir français. Voici la promesse de Parcel Tiny House. Et c'est une promesse tenue ! Une déconnexion totale, au cœur de la nature française et ce, dans le confort le plus total. On vous raconte.
L'aventure commence il y a près de 4 ans pour Parcel. Cette jeune start-up fait le pari d'installer des Tiny Houses éco-responsables chez des agriculteurs. Un choix osé mais gagnant : avec ses logements insolites cachés en plein cœur de la nature, Parcel nous fait vivre une expérience ultra-dépaysante.
Ces logements, durables et tout confort, offrent une déconnexion totale. Les tiny houses sont installés sur des parcelles agricoles, en pleine forêt ou sur un vignoble par exemple. Toutes à proximité d'une grande métropole pour plus d'accessibilité, les tiny houses sont isolées de tout bruit pour profiter d'un moment de tranquillité absolu. Le mot d'ordre de Parcel ? Déconnecter à travers la nature. Pas de wifi, pas de télé, on laisse tomber également notre téléphone pour jouir de l'expérience à 100%. Aujourd'hui, Parcel compte une quarantaine de cabanes, situées sur plus de 32 destinations à travers toute la France.
Et si ces tiny houses écologiques sont perdues, elles n'en oublient pas leur confort : grand lit moelleux, vue panoramique sur la nature, cuisine et salle de bain équipées. On se laisse aller à la déconnexion avec les jeux de société disponibles ou un bon bouquin. Et pour ne pas s'ennuyer, Parcel prête une radio K7 hyper cool et super rétro, on adore.
Crédit : Pierre Le Moellic
L'ambition de Parcel, c'est aussi la mise en avant des agriculteurs chez qui on vient s'évader. Des paniers en circuit court pour l'apéro et le petit-déjeuner sont proposés, afin de découvrir les produits de la région. De quoi se régaler au cœur de la nature !
Nuit insolite : au cœur de la nature dans une cabane isolée
Pour notre séjour à nous, on est parti du côté du Troyes, sur le domaine Alexandre Bonnet aux Riceys, un petit village dans l'Aube, coincé entre la Bourgogne et la Champagne. À seulement 2h30 de Paris, perdus dans les vignes, nous découvrons alors cette tiny house installée sur les 47ha de vignes du domaine. Entre vallons et forêts, le dépaysement est à son paroxysme. "Le paradis doré au milieu des vignes", promet Parcel. Et nous sommes émerveillés !
Crédit : Pierre Le Moellic
Pour arriver dans ce paradis doré, on reçoit plusieurs instructions par mail quelques jours avant. Pas d'adresse, seulement des coordonnées GPS. L'aventure commence ! On récupère les clés dans une boîte à clés sécurisée puis on ouvre les portes de cette cabane perdue dans les vignes. Waouh. À la fois simple mais tout confort, l'intérieur de la tiny house n'a rien à envier aux chambres luxueuses de certains établissements. Un grand lit surélevé pour profiter de la vue panoramique, une petite cuisine bien équipée pour se concocter des petits plats, une salle de bain petite mais confortable, c'est un mini-chez-soi qu'on ne voudrait plus quitter. La terrasse appelle à la déconnexion puisqu'on a qu'une seule envie : s'y poser avec un livre et ne plus jamais s'en aller.
Après une nuit des plus reposantes (presque 10 heures de sommeil sans un bruit, le rêve), on repart le cœur léger et triste mais on se promet d'y retourner prochainement. Et avant de partir, n'hésitez pas à réserver une visite du domaine Alexandre Bonnet. Les équipes se feront un plaisir de vous recevoir pour vous présenter leurs différents champagnes (absolument délicieux).
Crédit : Pierre Le Moellic
Déconnecter dans une tiny house, l'expérience à s'offrir sans plus attendre
Avec ses logements écologiques nichés en pleine nature, Parcel a tout compris. Pour un week-end solo, en amoureux ou en famille, trouvez votre bonheur parmi les différentes tiny houses proposées ! Certaines accueillent même votre compagnon à quatre pattes. Toutes les destinations sont à retrouver sur le site de Parcel.
Notre conseil ? Allez-y les yeux fermés ! On est vraiment tombé amoureux ce concept et on prévoit déjà notre prochain week-end à la campagne.
Crédit : Pierre Le Moellic