12 anecdotes sexuelles méconnues qui font partie de l'Histoire mais dont on n'entend jamais parler

On s’intéresse souvent à l’Histoire et ses mystères. Et quand ces mystères concernent la sexualité de quelques personnalités historiques, ça vaut vraiment le détour !


Dans les manuels d’Histoire, il n’existe peu, voire pas du tout, d’anecdotes croustillantes concernant la vie privée de certaines figures historiques. Par pudeur ou par méconnaissance, certains éléments historiques sont tombés dans l’oubli. Il faut se replonger à corps perdu dans des centaines de documents historiques pour découvrir des histoires vraiment incroyables. Par exemple, entre les penchants sadomasochistes du philosophe Jean-Jacques Rousseau et les paroles scatophiles de Mozart, il y a beaucoup d’anecdotes qui vont en surprendre plus d’un.


Découvrez 12 anecdotes historiques sexuelles qui ne vous laisseront pas indifférents !


1 – La sexualité d’Anne Frank

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Dans les écrits originaux de son Journal, Anne Frank évoquait la relation qu’elle souhaitait entretenir avec un jeune garçon appelé Peter van Peels. Elle mentionne même ses règles et la masturbation dans des passages qui ont été retirées des premières éditions par son père Otto Frank. Elle décrit comment elle explore son sexe, découvre ses petites lèvres et ses premières règles. « Une sorte de semence gluante dans sa culotte. » écrivait-elle… En 2010, l’auteure britannique Sharon Dogar suscitait la polémique avec son ouvrage « Annexed » qui racontait, de manière plus romancée, cette relation secrète par la voix de Peter van Peels.

 

2 – Les relations cachées du président américain Warren G. Harding

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Ce n’est pas le plus connu des présidents américains et pour cause. Elu en 1920, il mourra en 1923 avant la fin de son mandat. Il est même considéré comme le pire président de l’histoire des États-Unis, à cause des scandales de corruption qui éclatèrent au sein de son gouvernement. En 1963, un auteur découvre une correspondance d’une centaine de lettres entre lui et une certaine Carrie Philipps, qui fut son amante secrète pendant une quinzaine d’années. On lui prêta également une autre relation extraconjugale avec une femme appelée Nan Britton, qui était plus jeune de 30 ans… Dans ces lettres, il appelait son pénis « Jerry ».


3 – Les Reines et l’accouchement public

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Durant des centaines d’années à l’époque de la monarchie, à travers l’Europe, les reines devaient accoucher en public, plus précisément devant les membres de la famille royale et les plus grands seigneurs. En effet, la naissance du futur prince ou de la future princesse était un événement, mais il fallait surtout que tout le monde soit témoin que le bébé se portait bien et qu’il n’y aurait pas de « substitution » en secret. Marie-Antoinette aurait même pu y passer lors de la naissance de son premier enfant. Il y avait tellement de monde dans la chambre qu’elle aurait pu manquer d’oxygène…


4 – L’impératrice Catherine II et son salon sexuel

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Impératrice de toutes les Russies de 1762 à sa mort en 1796, Catherine II était réputée pour son grand appétit sexuel et ses nombreux amants. Dans le « palais Catherine » (construit en 1756 en hommage à Catherine Ier), elle y aurait aménagé une « Chambre des Plaisirs », comportant beaucoup de mobilier érotique et de gadget dans le même genre. Découverte durant la seconde guerre mondiale, son existence divise encore les historiens et reste taboue en Russie…


5 – Le premier film pornographique date de… 1896

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Alors que le cinéma en est à ses premiers balbutiements, c’est en 1896 qu’est réalisé le premier film à caractère érotique, d’une durée estimée à sept minutes… Produit par Eugène Pirou et réalisé par Alfred Kirchner (alias Léar), le film s’appelle « Le Coucher de la Mariée » et met en scène Louise Willy, une artiste de cabaret. Redécouvert en 1996, on ne peut voir qu’une scène de deux minutes où l’actrice se déshabille derrière un paravent (pendant qu’un homme attend à côté), donnant la première scène de strip-tease au cinéma. Les cinq autres minutes n’ont pas survécu au temps et son caractère pornographique est finalement un véritable mystère.


6 – Mozart et son humour scatologique

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Si Mozart meurt en 1791, sa renommée le poursuivit post-mortem. Sa veuve, Constance Mozart, envoya des manuscrits de ses canons à des éditeurs en 1799, pour les adapter (changer le titre et les paroles) et les publier. En 1991, dans la bibliothèque de l’Université d’Harvard, on y retrouve les canons originaux de Mozart, dont six étaient signés de sa main. L’un des canons avait pour titre « Leck mir den Arsch fein recht schön sauber », qui fut traduit comme : « Lèche-moi le cul et bien proprement ». Ces écrits sont considérés comme authentiques. Trois autres canons reprenaient ce ton d’humour scatologique.


7 – Gandhi, le sex-gourou obsédé

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Partisan de la non-violence, le Mahatma Gandhi était réputé pour sa pureté. Pourtant, s’il prêchait la chasteté à ses disciples, il ne se privait pas pour dormir avec femmes nues. Surtout, il menait des expériences sexuelles très étranges avec ses disciples comme prendre des bains avec des jeunes femmes pubères, se faire masser nu ou partager son lit avec des femmes mariées dévêtues. Cependant, Gandhi n’aurait jamais brisé son abstinence aurait mené ces expériences pour mieux renforcer son contrôle de soi.


8 – Jean-Jacques Rousseau aimait la fessée

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Philosophe des Lumières, il savait bien de quoi il parlait puisque dans son autobiographie « Confessions », il fait d’étonnantes révélations sur ses petits plaisirs. Il se confie notamment sur la fessée de Melle Lambercier, qu’elle lui donna pour le punir lorsqu’il avait huit ans… : « Qui croirait que ce châtiment d’enfant, reçu à huit ans, par la main d’une fille de trente, a décidé de mes goûts, de mes désirs, de mes passions, de moi pour le reste de ma vie (…) ? ». Il n’emploie jamais le mot « fessée » mais assume que c’est par là qu’il découvre ses penchants sexuels.

 

9 – Thomas Granger, zoophile, premier condamné à mort aux États-Unis


En 1642 à Plymouth, la première ville des pèlerins européens aux États-Unis, on croyait en une société totalement puritaine. Le gouverneur William Bradford raconte dans un ouvrage l’histoire de Thomas Granger, reconnu coupable de « bestialité » (« buggery » en anglais), que l’on peut assimiler à de la zoophilie. Ce félon aurait commis cet acte avec une jument, une vache, deux chèvres, cinq brebis, deux veaux et une dinde. La sentence, tirée de la Bible (loi du Lévitique, chapitre 20, verset 15) a conduit à sa mise à mort et à l’exécution des animaux souillés…


10 – La réponse « couillue » du président américain Lyndon B. Johnson

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Durant sa présidence (1963-1969), Lyndon B. Johnson s’est illustré pour avoir lancé la guerre du Vietnam. Lors d’une interview, un journaliste lui demanda pourquoi il avait envoyé des troupes au Vietnam. Le président, agacé par l’insistance des questions sur ce sujet, se leva, baissa son pantalon et montra son appareil génital en répondant : « Voilà pourquoi ! »


11 – Quand les médecins traitaient les femmes hystériques avec... la masturbation


Il fut un temps où les médecins traitaient les femmes hystériques en leur massant la vulve, comme un simple massage gynécologique. D’ailleurs, les médecins s’inquiétaient de recourir à cette pratique pour la santé de leurs poignets. Cette pratique fut courante jusqu’à la fin du XIXème siècle avec l’apparition du vibromasseur, ce qui soulagera de nombreux médecins.


12 – Les Britanniques et leur amour pour les chèvres

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Lorsque le Pays de Galles rejoignit le Royaume-Uni en 1536, une anomalie juridique est venue semer le trouble. En effet, en cas de délit de zoophilie sur une chèvre, les Gallois punissaient l’auteur du crime en lui coupant le doigt. D’un autre côté, ils avaient pour coutume de couper la main d’un voleur de chèvres. À cause de cette anomalie, les gens avaient tendance à confesser qu’ils avaient fait l’amour avec une chèvre, plutôt que de la voler, afin de sauver leurs mains…


Incroyables ces histoires, n’est-ce pas ?

Source : 9Gag
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