En triant de vieilles affaires de son grand-père décédé, un homme a découvert un véritable trésor.
Il ne s’attendait pas à ça !
En 2014, Dylan Scalet a hérité de plusieurs affaires ayant appartenu à feu son grand-père, qu’il n’a jamais connu.
C’est à travers les histoires racontées par ses parents qu’il a en effet appris à connaître cet aïeul tant aimé et respecté dans sa famille.
Ce dernier, Jack Sharp, était un ancien ingénieur britannique qui a notamment travaillé pour le très prestigieux CERN (Organisation européenne pour la recherche nucléaire) basé à Genève.
En parallèle de sa carrière de scientifique, il aimait également s’adonner à la photographie. Une passion qui l’a conduit à prendre des centaines et des centaines de photos tout au long de sa vie, laissant derrière lui une immense collection personnelle de tirages et autres négatifs. Un héritage que sa famille a gardé précieusement, à sa mort.
Des cartons entiers que Dylan - lui-même apprenti photographe - a finalement récupérés voilà 6 ans mais qu’il n’avait jusqu’alors pas eu le temps de trier.
Un véritable trésor photographique qui appartenait à son grand-père Jack Sharp
Avec la crise sanitaire et le confinement du printemps dernier, il s’est finalement décidé à faire le tri et a numérisé les 5 000 négatifs, en sa possession.
Et ce qu’il a découvert l’a émerveillé, tout en le remplissant de fierté.
Sans le savoir, Dylan était l’heureux propriétaire d’un véritable trésor photographique, composé de superbes clichés de rue que n’auraient pas reniés quelques-uns des plus célèbres photographes du XXe siècle, tels Robert Doisneau, Henri Cartier-Bresson ou encre Helen Levitt.
« J’étais vraiment excité de découvrir ce qu’il y avait à l’intérieur des boîtes dont j’avais hérité. Il y avait tellement de choses, ça pouvait être n’importe quoi ! (…) j’ai été agréablement surpris », a-t-il ainsi confié au site Bored Panda.
« J’ai tout de suite su que ces photos étaient spéciales. Pas seulement parce qu’elles étaient de mon grand-père mais aussi parce que j’ai pu y voir objectivement la beauté ».
Et quand, on voit certains de ces clichés ci-dessous, on en peut qu’être d’accord avec lui. Aussi rares que magnifique, ces photos, prises entre 1950 et 1970 en Suisse et en France, sont autant de témoignages et d’archives sur une époque pas si lointaine.