Une fillette survit miraculeusement sous les décombres de sa maison, détruite par le terrible séisme au Maroc

Deux jours après le violent séisme dans l’Atlas marocain, une fillette a été secourue après avoir passé 48 heures sous les décombres.

Alors que le Maroc panse ses plaies suite au dramatique tremblement de terre survenu le vendredi 8 septembre dans la région de Marrakech, un miracle est venu redonner au peu de baume au cœur au peuple marocain ainsi qu’aux secouristes.

Une fillette de 11 ans a miraculeusement survécu au drame après avoir passé deux jours, seule, sous les décombres d'un bâtiment effondré.

Prénommée Meryem, cette dernière a en effet été secourue alors qu’elle était prise au piège dans les ruines de sa maison, située dans le village reculé de Taourir.

À 11 ans, elle survit seule pendant 48 heures sous les décombres de sa maison, détruite par le séisme au Maroc

Miraculée, la fillette - dont la famille a été particulièrement touchée par la catastrophe - ne présente que des blessures superficielles et son pronostic vital n'est pas engagé.

« Elle a une fracture à l’avant-bras, il va falloir la transporter à l’hôpital à Marrakech, mais elle va s’en sortir », a ainsi indiqué un ambulancier au micro de nos confrères de BFM TV

« Ses blessures ne sont pas graves mais elle n'a plus sa maman. Un autre oncle et sa tante sont aussi blessés, presque toute la famille est touchée », a par ailleurs précisé un proche, interrogé par la chaîne d'information.

Pour rappel, le bilan provisoire de ce tremblement de terre de 6,8 sur l’échelle de Richter fait était de plus de 2 900 morts et au moins 5 530 blessés, selon le ministère Marocain de l'Intérieur.

Il s'agit du séisme le plus meurtrier depuis 60 ans au Maroc.


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Au sujet de l'auteur :

Évoluant dans la presse web depuis l’époque où celle-ci n’en était encore qu’à ses balbutiements, Mathieu est un journaliste autodidacte et l’un de nos principaux rédacteurs. Naviguant entre les news généralistes et les contenus plus décalés, sa plume s’efforce d’innover dans la forme sans jamais sacrifier le fond. Au-delà de l’actualité, son travail s’intéresse autant à l’histoire qu’aux questions environnementales et témoigne d’une certaine sensibilité à la cause animale.