Nous savions Emilia Clarke pleine d’humour, l’actrice ne faillit pas à sa réputation avec cette nouvelle excentricité : parodier les « stock images », les images libres de droits mises à disposition par diverses plateformes. Vous l’avez connue en Daenerys, en Qi’Ra, en Sarah Connor… Découvez Emilia Clarke en Barbara la businesswoman, ou encore en Sally la PDG, assurément ses deux plus grands rôles, pour lesquels elle a mis du coeur à l’ouvrage !
Malheureusement non, ces photos ne seront pas mises à disposition de tous par des banques dédiées, elles ne resteront qu’une parodie savamment orchestrée par Vanity Fair le temps d’une vidéo. Savoir poser pour des « stock images », c’est tout un art, savamment maîtrisé par Emilia Clarke qui s’en vante ainsi avec beaucoup d’autodérision dans cette fausse interview dans laquelle la jeune britannique de 31 ans joue une autre version d’elle-même :
Vanity Fair
« Ce pourquoi je suis probablement le plus connue, c’est Game Of Thrones. Puis il y a le film sur Han Solo qui vient de sortir. Mais je sens que faire des images d’archives sera ce qui permettra d’être connue pour toujours ».
Vanity Fair
Parfaitement entrée dans la tête de son personnage de patronne d’entreprise, Emilia explique ainsi qu’il faut être notamment « ferme » pour incarner Sally la PDG. Elle dispense en outre de nombreux conseils pour interpréter au mieux des personnages de « stock images », expliquant à quel point il est nécessaire de les comprendre, profitant de ce moment pour affirmer que le grand Daniel Day-Lewis, trois fois oscarisé, devrait prendre exemple sur elle, ni plus ni moins. Oui. Comprendre profondément un personnage le temps d’une photo. D’archives. À l’instar de Barbara la businesswoman qui est clairement le rôle qui peut changer une carrière... et même changer une vie entière.
« Faire des images d'archives est probablement l'une des choses les plus puissantes qui soient arrivées dans ma vie, probablement l'une des plus importantes qui soient arrivées dans ma vie. Cela a affecté qui je suis et qui j'ai envie d'être ».
Vanity Fair
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