Le jour de son mariage, elle a pris deux clichés à 2 minutes d’intervalle. Sur la première photographie, elle est debout face à un miroir. Le selfie montre la radieuse jeune femme en lingerie sous un corps de rêve, avec une petite légende « prête pour ma robe ! ». La deuxième photographie, quant à elle, montre Anna assise où (SURPRISE) son ventre fait des plis. Sur la légende, elle note « Restez relax, tous les angles ne sont pas les bons et ce n’est pas grave ! ».
La réalité du corps n’est pas celle des clichés d’Instagram, ou d’ailleurs. Les photographies sont un judicieux arrangement d’ombre, de lumière et d’angles.
Dans son post Instagram, Anna Victoria précise :
« Quelqu'un m’a dit récemment que nous avons tous nos bons angles et nous avons tous nos mauvais angles, alors pourquoi laissons-nous nos mauvais angles avoir plus de poids que nos bons angles ? Si vous vous concentrez sur ce qui ne va pas dans les mauvais angles, concentrez-vous aussi sur ce qui vous plaît dans les bons angles !! »
En multipliant ce type d’initiative, les personnalités médiatisées cassent les mythes autour du physique papier glacé. C’est aussi le cas du mannequin Iskra Lawrence. Récemment, elle a réalisé deux clichés dans sa salle de bains pour montrer à ses fans qu’il ne faut se soucier d’un écart entre les cuisses.
« Rappelez-vous toujours que les médias sociaux ne sont pas la vraie vie. Ne laissez jamais les photos de quelqu'un d'autre vous faire sentir mal dans votre corps. » Si seulement.