Carla Bruni se moque du témoignage émouvant d'un éboueur et déclenche la colère des internautes

Ce jeudi 16 février, la chanteuse Carla Bruni s’est attirée les foudres d’un grand nombre d’internautes sur Instagram. La raison ? L’ancienne Première dame n’a pas hésité à se moquer du témoignage d’un éboueur en grève.

Mercredi 15 février, le plateau de BFM TV recevait Brahim Sidibé, un éboueur en grève contre la réforme des retraites. Celui qui exerce ce métier depuis 13 ans a parlé de la pénibilité de son travail.

«Je peux vous dire que le métier qu’on fait, c’est un métier qui est pénible», a expliqué le chauffeur éboueur. «On a des collègues qui sont maintenant inaptes, certaines n’arrivent même pas à l’âge de le retraite d’avant (…) Je n’ai pas envie de crever derrière la benne».

Un témoignage fort qui a été relayé sur les réseaux sociaux, notamment par la députée LFT Clémentine Autain sur son compte Instagram.

La réaction de Carla Bruni provoque un tollé

Alors que de nombreux internautes ont affiché leur soutien à Brahim Sidibé sous la publication de la députée, un commentaire de Carla Bruni a particulièrement attiré l’attention.

Le contenu ? La chanteuse a écrit «Hahahahaha», suivi de trois smileys qui pleurent de rire. Sans réelle surprise, l’épouse de Nicolas Sarkosy s’est attiré les foudres des utilisateurs.

«Euh… Elle est où la blague ?», «Votre âme est aussi noire que les déchets ramassés par cet homme éboueur», «À votre grand âge…sincèrement…j’espère que vous avez honte», «Quelle honte votre commentaire !», «Tu sais que dans une démocratie qui fonctionne bien, la place de ton mari est entre 4 murs ? Continue de rigoler, la roue tournera tôt ou tard», peut-on lire parmi les nombreuses réactions.

Crédit Photo : Clémentine Autain / Instagram

Mais ce n’est pas tout ! La Youtubeuse EnjoyPhoenix a partagé le commentaire de l’artiste française sur son compte Twitter, accompagné de la légende suivante : «Un homme qui parle de la pénibilité de son travail, et Carla Bruni qui se tape une barre en commentaire. Où est la vanne».