Reconnu coupable de violences conjugales, Stéphane Plaza a été condamné par la justice.
Des agences immobilières aux tribunaux.
Dans la tourmente depuis quelques semaines, suite aux accusations de deux de ses anciennes compagnes, Stéphane Plaza est désormais fixé sur son sort. L'agent immobilier le plus célèbre du PAF a été condamné ce mardi 18 février à une peine d'un an de prison avec sursis pour violences conjugales.
Visiblement très affecté par ce verdict, l'animateur a fondu en larmes à sa sortie du tribunal, comme le montre la vidéo ci-dessous.
Stéphane Plaza quitte le tribunal en larmes après avoir été condamné à 12 mois de prison avec sursis. (@RemyBuisine) pic.twitter.com/8ysANtUyLw
— Cpasdeslol (@cpasdeslol_X) February 18, 2025
Un an de prison avec sursis pour Stéphane Plaza
Âgé de 54 ans, l'animateur star de M6 a ainsi été reconnu coupable des faits qui lui étaient reprochés par le tribunal correctionnel de Paris, rapportent nos confrères de France Info.
Il a par ailleurs été condamné à verser des dommages et intérêts, à hauteur de 8 000 euros, et devra également rembourser les frais d'avocat de l'une des plaignantes, qui s'élèvent à 3 000 euros environ.
Dans la foulée du verdict, ses avocats ont fait savoir qu'ils avaient l'intention de faire appel de cette décision de justice.
Crédit photo : Crédit photo : @stephaneplaza.off / Instagram
Pour rappel, Stéphane Plaza était jugé pour « violences habituelles physiques et/ou psychologiques par concubin » sur deux anciennes compagnes. Ces dernières accusaient en effet l'animateur de 54 avant de les avoir violentées sur une période allant de 2018 à 2022.
Si l'agent immobilier a bien été reconnu coupable de « violences habituelles sur conjoint », concernant la première plainte (il a en outre l'interdiction, désormais, de contacter cette plaignante), il a en revanche été relaxé pour la seconde, car le tribunal a considéré qu'il n'y avait pas assez d'éléments dans ce dossier.
Notons que la condamnation de Stéphane Plaza est inférieure aux réquisitions du parquet. Le 9 janvier dernier, celui-ci avait ainsi requis 18 mois de prison à son encontre, mais aussi l'interdiction de contact avec les plaignantes, l'interdiction de port d'armes et, enfin, une amende de 10 000 euros.