Focus sur une affaire de mœurs qui a laissé bouche bée nos voisins du plat pays.
Nos amis belges ne cesseront jamais de nous surprendre !
Un drôle de fait divers, sur fond de pratique coquine, a secoué la région wallonne il y a quelques semaines, provoquant l’hilarité du web.
Un couple a ainsi été arrêté pour s’être livré à une fellation sur un banc, en pleine rue, le 11 septembre dernier à Dinant (Haute-Meuse).
Les deux individus ont été appréhendés suite à l’appel d’un riverain choqué qui assistait, bien malgré lui, au « spectacle » depuis sa fenêtre.
Image d'illustration. Crédit photo : Istock
Un couple de seniors arrêté pour une fellation en pleine rue
Poursuivi pour exhibitionnisme, ce couple - formé par un homme d’une soixantaine d’années et une femme septuagénaire - avait l’occasion de s’expliquer sur cet acte sexuel devant la justice, le vendredi 17 mars. Mais ni l'homme, ni la femme ne se sont présentés au tribunal.
C’est donc sans eux que les juges se sont penchés sur cette affaire de mœurs.
« Ils sont assis sur un banc. Monsieur baisse son pantalon et madame entame une fellation », a ainsi détaillé le président du tribunal lors de l’audience, selon des propos rapportés par le média belge DH.
Ce dernier a ensuite raconté que la femme s’était absentée quelques minutes pour aller chercher de l’alcool dans une épicerie, alors que « Monsieur avait déjà bu 4 à 5 canettes de Gordon à 11% ». Elle n’était donc pas là lorsque la police a débarqué sur les lieux.
Une fois revenue sur place, elle a logiquement été interrogée par les policiers et ne s’est pas démontée, en leur donnant une justification pour le moins étonnante.
« Je voulais rentrer à la maison mais lui voulait que ça se fasse tout de suite. Ce n’est pas un italien pour rien, il a un grand appétit », a-t-elle ainsi déclaré, non sans une certaine ironie, face aux policiers que l’on imagine médusés.
Interrogé à son tour, l’homme a tenu à préciser que ce n’était pas la première fois qu’ils se livraient à ce type de pratique « sans être vus » avec sa compagne, ajoutant qu’il avait « une envie soudaine et un besoin à assouvir ».
« C’était un dimanche en pleine après-midi, il aurait pu y avoir des enfants », a rappelé le tribunal qui a finalement requis six mois de prison à l’encontre de ce couple exhibitionniste.
Verdict le 21 avril prochain.