Cette Américaine a sans doute vécu l’un des pires retours de vacances que l’on puisse imaginer. À cause de l’erreur d’une entreprise, sa maison a été rasée et laissée en morceaux.
L’histoire paraît peu probable tant elle est incroyable. Susan Hodgson, originaire d'Atlanta, aux États-Unis, était partie en vacances pour décompresser. Mais ses vacances ont vite tourné au cauchemar lorsque l’une de ses voisines l’a appelée en urgence.
Sa voisine l’informe alors qu’une entreprise de démolition est sur place et qu’elle est en train d'abattre… sa maison. Pourtant, c’est bien une autre maison du quartier qui doit être rasée et non celle de Susan Hodgson.
Comme le rapporte le média local WAGA-TV, la voisine fut bien étonnée de voir les ouvriers d’une entreprise de démolition s’attaquer à la maison de Susan. « Elle m'a dit : ‘Il y a quelqu'un ici qui vient de démolir toute la maison et de la détruire entièrement », se rappelle Susan.
L’entreprise réalise son erreur mais il est déjà trop tard
Pourtant, la voisine de Susan a tenté tant bien que mal d’empêcher ce massacre. Cependant, l’entreprise n’a eu que faire des alertes de la voisine et lui aurait demandé de « se taire et de s'occuper de ses affaires ». Bien mal lui en a pris de la traiter ainsi. Si les ouvriers avaient écouté ce qu’elle avait à leur dire, ils auraient évité la catastrophe.
Il aura fallu qu’un proche de Susan se déplace pour vérifier le permis de démolition pour que l’entreprise réalise l’erreur qu’elle venait de commettre. Les ouvriers s’étaient trompés d’adresse.
Crédit photo : gabort71/ iStock
Lorsque Susan Hodgson est rentrée en urgence de ses vacances, il était trop tard : sa maison avait été démolie. « C'est juste difficile à croire que quelqu'un pense avoir le droit de venir démolir quelque chose et de s'en aller sans rien dire et sans revenir pour dire : 'Je suis désolé' », déplore Susan.
D’après un média local, une enquête a été ouverte et l’entreprise se creuse la cervelle pour tenter de réparer son erreur. Aujourd’hui, comme le dit Susan, elle est propriétaire d’un « gros tas de débris ».
