Cet étudiant a trouvé un excellent moyen pour vivre dans la capitale anglaise sans se ruiner. Son idée ingénieuse a été largement saluée par les internautes.
Sur les réseaux sociaux, le créateur de contenus Jub London s’est fait une spécialité en arpentant les rues de Londres. Il part à la rencontre de coins méconnus de la capitale londonienne et de ses habitants.
L’une de ses dernières rencontres en date a marqué les Britanniques. Dans sa vidéo TikTok, Jub London fait la connaissance d’un jeune homme prénommé Harrison Marshall. Ce dernier raconte qu’il vit au cœur de Londres et qu’il paye 50 Livres sterling de loyer par mois (60 euros).
Le montant est dérisoire quand on sait que Londres est la deuxième ville d'Europe où les prix des loyers sont les plus élevés (derrière Amsterdam qui arrive en tête). Par ailleurs, l’Angleterre subit actuellement une grave crise du logement et de nombreux Londoniens peinent à se payer un logement décent. Il n’est alors pas étonnant que le témoignage de Harrison Marshall ait interpellé les internautes.
Une benne à ordures aménagée en véritable cocon
Crédit photo : Harrison Marshall
Harrison Marshall vit en fait dans une skip house, semblable à une tiny house, qu’il a lui-même aménagée. C’est une ancienne benne à ordures que l’étudiant en architecture a rénové pour en faire son cocon. Chambre, salle de bain, coin cuisine avec frigo miniature, rien ne manque à Harrison qui vit dedans depuis un an et demi.
Comme on peut le voir dans la vidéo, Harrison a fait la part belle au bois pour la décoration. Il y a également installé quelques plantes afin de ramener un peu de verdure et de nature en milieu urbain.
L’idée d’Harrison a largement séduit les internautes. Ils ont été 30 millions à regarder la vidéo de la visite de son skip house et 3 millions à le féliciter en commentaire. Sachez que Harrison Marshall partage son quotidien sur Instagram sur le compte The Skip House où 55 000 curieux le suivent.
Crédit photo : Harrison Marshall
Crédit photo : Harrison Marshall
Crédit photo : Harrison Marshall
Crédit photo : Harrison Marshall