Cette femme souffre d'hypersexualité et a couché avec plus de 130 hommes, alors qu'elle n'a que 30 ans

Une femme s’est confiée sur son hypersexualité, qui rend son quotidien complexe.

Contrairement aux idées reçues, la nymphomanie ne désigne pas un trop fort appétit sexuel mais bien une addiction au sexe qui relève davantage d’un comportement pathologique et handicapant.

Si une femme nymphomane cherche toujours à assouvir ses envies, c’est avant tout par dépendance et cela peut causer des souffrances psychologiques ainsi qu’une incapacité chronique à mener une vie ordinaire.

Frankie Considine le sait mieux que quiconque. Cette Britannique âgée de 30 ans souffre de nymphomanie, ou plutôt d’hypersexualité. Ce qui est loin d’être de tout repos, aussi bien physiquement que mentalement.

Image d'illustration. Crédit photo : Istock

Cette femme est nymphomane et a déjà connu plus de 130 partenaires sexuels

Jamais rassasiée, elle est en effet toujours en quête d’un plaisir effréné comme elle l’expliquait en 2020 dans un article publié par le média britannique The Sun.

Dans ce témoignage, Frankie expliquait notamment avoir déjà couché avec 130 hommes, avant d’avoir atteint la trentaine. Son appétit sexuel était tel, selon elle, que sa vie quotidienne s’en trouvait chamboulée.

« Je ne pouvais poursuivre ma journée que si je savais quand j’allais avoir mon prochain rapport (…) C’était une priorité pour moi, je faisais passer ça avant le travail, la santé et les loisirs », expliquait-elle ainsi à l’époque.

Cette addiction la conduisait parfois à mentir à ses collègues ou ses amis pour s’offrir une escapade sexuelle. Frankie a d’ailleurs plusieurs fois prétexté être malade pour ne pas travailler et s’adonner ainsi à la luxure.

« Je faisais en sorte que cela se produise tous les jours », précisait la jeune femme, qui a même été jusqu’à coucher avec quatre hommes différents en une seule journée.

Crédit photo : DR

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Selon elle, sa dépendance lui est venue vers l’âge de 20 ans, peu après le décès de sa mère et juste après avoir mis fin à une relation de 4 ans avec un homme qu’elle trompait régulièrement. Les années qui vont suivre seront ainsi marquées par une sexualité totalement débridée et effrénée.

« Il s’agissait surtout du frisson que procurait le sexe, mais aussi l’intimité et le rapprochement avec quelqu’un, qui remplaçait l’absence de ma maman », racontait Frankie en 2020.

Durant cette période, les relations sexuelles se succédaient pour Frankie, laquelle n’utilisait pas de moyen de contraception. Et ce qui devait arriver arriva : après avoir contracté plusieurs IST, dont le papillomavirus ou encore la chlamydia, elle tomba enceinte et dû subir un avortement. Des événements douloureux qui furent pour elle une première prise de conscience.

Sujette à des crises de panique, elle sombrait de plus en plus dans la dépression lorsqu’une thérapeute lui a enfin expliqué que son addiction était avant tout une pathologie.

Depuis lors, Frankie a repris sa vie en main et semble sur la voie de la guérison.

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Source : The Sun
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