Un influenceur canadien a récemment expliqué quelle était sa source de motivation pour faire de l'exercice et cette dernière a vraiment de quoi surprendre.
Il n'est jamais évident de se motiver pour faire du sport.
Toutes les excuses sont bonnes en effet pour éviter la pratique sportive, mais certains se font néanmoins violence pour faire de l'exercice. Et parmi ces derniers, beaucoup insistent sur l'importance d'un exemple qui leur sert de modèle et d'inspiration.
C'est notamment le cas d'un certain Phil Mackenzie. Cet ancien rugbyman pro canadien, devenu influenceur, a ainsi raconté que sa motivation pour faire du sport lui venait surtout de son grand-père, octogénaire, qui est encore capable à son âge de faire des centaines... de pompes par jour.
Crédit photo : @leansquad / capture d'écran / Instagram
Il fait du sport en s'inspirant de son grand-père, capable de faire encore 500 pompes par jour
Originaire de Burlington en Ontario, Phil Mackenzie, âgé de 37 ans, s'est confié sur ce lien si spécial qui le lie à son grand-père, mais aussi sa grand-mère, lesquels restent ses modèles. Son histoire a été retranscrite sur Business Insider.
« Ma mamie et mon grand-père peuvent tout faire. De toutes les personnes que j'ai rencontrées, ce sont elles les plus actives. Mon grand-père fait 500 pompes trois fois par semaine tandis que ma grand-mère marche deux heures tous les jours. Je vois à quel point leur vie est meilleure à 84 et 80 ans, comparée à celle d'autres personnes qui peuvent à peine se lever d'une chaise à 70 ans. » (Phil Mackenzie)
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L'influenceur canadien a, semble-t-il, hérité de ces aptitudes pour le sport. Il reste admiratif de son aïeul dont la pratique régulière n'a jamais cessé.
« Mon grand-père a commencé à soulever des poids bien avant que cela ne devienne courant. Il y a des photos de lui dans une salle de sport quand il avait 18 ans, et il en a 84 aujourd'hui. Il continue de faire de la musculation cinq fois par semaine, de l'elliptique trois fois par semaine et des promenades avec ma nounou deux heures par jour. » (Phil Mackenzie)
Phil Mackenzie explique par ailleurs que son grand-père - en plus du sport - a toujours effectué des travaux physiques, en rénovant notamment des vieilles bâtisses. Il a même participé à la construction de la maison dans laquelle vit aujourd'hui son petit-fils, sa femme et ses quatre arrière-petits-enfants.
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Alors forcément, avec un tel exemple, Phil ne pouvait pas ne pas se mettre au sport. Dès l'adolescence, il a ainsi commencé le rugby. Plutôt doué, il a franchi un à un les échelons et a réussi à devenir joueur professionnel à l'âge de 22 ans, en Angleterre. Il a même disputé plusieurs matches de Coupe du monde avec la sélection canadienne. En parallèle, il a toujours pratiqué l'haltérophilie, car il voulait soulever des poids, comme le faisait son grand-père avant lui.
« J'ai commencé à jouer au rugby à 13 ans et à faire de l'haltérophilie à 14 ans, ce que j'ai adoré grâce à mon grand-père. Je l'ai vu soulever des poids et je me suis rendu compte qu'il avait confiance en lui et qu'il était capable. Je pense donc que j'ai éprouvé un amour profond pour l'haltérophilie dès que j'ai commencé, simplement parce que je l'ai vu faire pendant si longtemps. » (Phil Mackenzie)
Aujourd'hui retraité du rugby, l'influenceur continue néanmoins de faire du sport au quotidien. Une pratique régulière qu'il concilie parfaitement avec sa vie de famille. Certes, il aimerait parfois en faire davantage, mais il se contente désormais de courtes, mais agréables, séances d'entraînement, avec toujours cet objectif d'être aussi sportif que son grand-père, quand il aura son âge.