Comme chaque année, on aura le droit à 11 jours fériés en 2023. Sauf que ces derniers sont tellement bien placés que vous pourrez vous octroyer 64 jours de vacances.
2022 a été une année mal pensée pour les jours de congés. En effet, on a eu par exemple les 1er mai, 8 mai et 25 décembre un dimanche, idem pour ce 1er janvier 2023. Effet domino oblige, ces jours fériés tomberont un lundi, idéal pour les week-end prolongés.
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En 2023, seul le 1er janvier et le 11 novembre tomberont un week-end mais les neuf autres seront placés en semaine.
Au total, grâce aux jours fériés, vous pourrez optimiser vos 26 jours de congés annuels pour vous octroyer 64 jours de vacances !
En avril, avec le lundi de Pâques le 10 avril, vous pouvez poser vos congés les mardi 11, mercredi 12, jeudi 13 et vendredi 14, ce qui fait neuf jours avec les deux week-end autour.
En mai, faites ce qu’il vous plaît
Au mois de mai, ce sera le must puisque les 1er et 8 mai seront un lundi donc prévoyez des congés du mardi 2 au vendredi 5 pour 10 jours de repos. Ensuite, avec le jeudi 18 mai, jour de l’Ascension, pensez à poser le vendredi 19 pour 4 jours de vacances. Sans oublier le lundi 29, celui de la Pentecôte pour un nouveau week-end de 4 jours si vous posez le vendredi 26 mai.
Au mois de juillet, sachez la fête nationale tombe un vendredi donc là encore, placez vos pions pour un week-end prolongé, voire toute la semaine du lundi 10 au jeudi 13 pour 9 jours avec les deux week-end.
Au mois d’août, le 15 août est un mardi, alors profitez pour poser les lundi 14, mercredi 16, jeudi 17 et vendredi 18 pour avoir de nouveau 9 jours de vacances.
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Ensuite, le mercredi 1er novembre vous donne l’opportunité d’avoir neuf jours de vacances en plus si vous posez le lundi 30 octobre, mardi 31 octobre, jeudi 2 novembre et vendredi 3 novembre.
Enfin, au mois de décembre, vous aurez l’occasion de cumuler 10 jours de repos grâce au lundi 25 décembre et lundi 1er janvier. En posant seulement quatre jours du mardi 26 au vendredi 29, avant d’attaquer de plein pied l’année 2024 le 2 janvier.
Que demande le peuple ?
