En plein direct, il veut montrer la solidité des verres incassables « Duralex », mais rien ne se passe comme prévu

Le duplex d'une chaîne d'information a pris une tournure inattendue et, avouons-le, très drôle cette semaine.

C'est ce que l'on appelle un grand moment de télévision !

Alors qu'il effectuait un duplex depuis les locaux de l'enseigne Duralex à La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret), un journaliste a vécu ce que tous ses confrères redoutent : une situation gênante. En voulant tester la solidité des produits de la célèbre verrerie française, l'intéressé a en effet vécu un grand moment de solitude lorsque les verres se sont... brisés sous ses yeux. Une scène immortalisée par les caméras.

Une (mauvaise) publicité dont se serait bien passée l'entreprise qui vient de relancer son activité, après avoir été placée en redressement judiciaire au mois d'avril. 

Crédit photo : @CerfiaFR / capture d'écran / X

Il veut prouver la solidité des verres Duralex mais ces derniers se brisent sous ses yeux

Devenue au mois de juillet une société coopérative et participative (Scop), ce qui avait permis de sauver tous les emplois menacés, Duralex a redémarré sa production cette semaine et pour l'occasion, la chaîne d'infos en continu BFM TV avait envoyé l'un de ses reporters, Cédric Faiche, pour couvrir l'événement, ce jeudi 5 septembre.

Dans la séquence en question, tournée aux alentours de 7h du matin dans l'édition matinale, le journaliste voulait ainsi monter aux téléspectateurs à quel point les verres de l'entreprise, fondée en 1927, étaient résistants et incassables. Avec la complicité d'un salarié de la société, il a donc effectué en direct un test de solidité qui ne s'est, hélas, pas passé comme prévu, car le verre jeté au sol s'est brisé en mille morceaux. Pire encore, les autres tentatives ont abouti au même résultat, provoquant les rires de certains journalistes présents en plateau. 

Si la scène a beaucoup fait rire les internautes, il est peu probable qu'elle ait été du goût de la société Duralex, qui n'avait pas besoin d'un tel bad buzz.

Les aléas du direct...