La vidéo d'un koala en pleurs a brisé le cœur de millions d'internautes ces derniers jours. Focus.
Les images sont bouleversantes !
Un koala a récemment été aperçu en train de pleurer la mort de sa femelle, au pied d'un arbre, en Australie.
Déchirante, la scène a été immortalisée le 24 février dans la Vallée de Coromandel (au sud-est d'Adélaïde) par un certain Hartley, volontaire de l'association Koala Rescue, raconte le site Yahoo News.
Crédit photo : Koala Rescue
Inconsolable, ce koala pleure la mort de sa femelle
Devenue virale, la vidéo rendue publique par l'association a brisé le cœur de millions d'Australiens, bouleversés par les pleurs et les gémissements de ce koala, inconsolable.
« C'est quelque chose que nous n'avions jamais vu auparavant », a déclaré le sauveteur qui est intervenu auprès de l'animal, après avoir été appelé par des témoins.
« Les personnes qui nous ont contactés nous ont dit que les deux koalas étaient dans la zone autour de leur maison depuis des semaines et des semaines (...) Il est possible qu'il s'agisse de partenaires d'accouplement, mais une fois que les mâles se sont accouplés avec les femelles, d'habitude ils s'en vont. C'est donc très, très étrange », a-t-il ainsi raconté.
« Tous ceux à qui nous avons parlé n'ont jamais vu ce genre de chose avec un mâle et une femelle, mais seulement entre une mère et son petit », a poursuivi l'intéressé, encore surpris par ce qu'il a vu.
« Ce type de comportement est rarement observé par nos sauveteurs, mais il confirme la nature empathique et bienveillante des koalas », a pour sa part commenté l'association Koala Rescue, en publiant la vidéo.
Après avoir récupéré la dépouille de cette pauvre femelle, Hartley a finalement relâché le mâle inconsolable, non sans avoir vérifié son état physique. Koala Rescue ignore les causes de la mort de l'animal qui ne présentait « aucun signe de maladie ou de blessure ».
Il est possible que les deux spécimens se soient accouplés dans l'arbre, au pied duquel ils étaient, avant que la femelle n'en tombe accidentellement.
Mais rien ne permet de l'affirmer avec certitude.
