« Garé comme une merde » : des cyclistes en colère organisent un concours hilarant sur Twitter

On vous parle aujourd'hui d'un concours pas comme les autres, qui dénonce avec humour les automobilistes imprudents qui se garent n'importe où.

Alors que le nombre de vélos et de cyclistes a très fortement augmenté ces dernières années, le nombre d’accidents mortels a également connu une forte hausse, faisant un bon de près de 20 % entre 2019 et 2020.

Si tous ces événements dramatiques ne peuvent bien sûr pas être imputés aux seuls automobilistes, ils mettent toutefois en lumière la responsabilité de certains de ces derniers, pas toujours habitués à cohabiter avec ce genre de deux-roues.

Une situation qui se traduit souvent par des incompréhensions, voire pire ! 

« Garé comme une merde », le concours Twitter hilarant qui se moque des automobilistes mal stationnés

Du point de vue des cyclistes qui arpentent les rues au quotidien, beaucoup trop d’automobilistes imprudents se croient tout permis sur les routes.

C’est la raison pour laquelle une association lyonnaise, baptisée « La ville à vélo », a lancé un concours sur Twitter, encourageant les cyclistes en colère mais aussi les piétons à publier des clichés de véhicules mal garés.

Baptisé « Garé comme une merde », l'idée a rapidement fait des émules !

De nombreuses photographies et autres vidéos ont ainsi été partagées récemment sur le réseau social, via le hashtag #GCUM.

Ce concours assez drôle connaît un réel succès, comme vous pouvez le voir ci-dessous.

Et ce qui n’était au départ qu’une simple initiative locale semble même s’étendre à l’échelle du pays.

Petit florilège :


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Au sujet de l'auteur :

Évoluant dans la presse web depuis l’époque où celle-ci n’en était encore qu’à ses balbutiements, Mathieu est un journaliste autodidacte et l’un de nos principaux rédacteurs. Naviguant entre les news généralistes et les contenus plus décalés, sa plume s’efforce d’innover dans la forme sans jamais sacrifier le fond. Au-delà de l’actualité, son travail s’intéresse autant à l’histoire qu’aux questions environnementales et témoigne d’une certaine sensibilité à la cause animale.