Un concept qui a sans doute fait beaucoup rire les organisateurs, mais que les médias ont nettement moins apprécié ! Explications.
La scène s’est déroulée dans le quartier branché de Darling Harbour, à Sydney. Les jeunes femmes, embauchées pour l'occasion, étaient allongées quasi-nues sur les tables, pour présenter des fruits posés sur elles, placés même dans certaines zones intimes ! À côté d’elles, se trouvaient également des fontaines de chocolat, pour y tremper les fruits récupérés à même leurs corps. Beaucoup n'ont pas tardé à réagir.
Ainsi, ce qui devait au départ être une soirée bobo-hypsto-branché s'est vite transformée en mini-bad buzz pour l'établissement. Certains politiques locaux y sont allés de leur remarque, à l'image de Jane Oakley, ancienne responsable des Verts de l'État de Nouvelles Galles du Sud, qui a remercié le bar de "montrer ainsi si ouvertement son mépris pour les femmes, et de faire perdurer le cliché dégoûtant que le corps des femmes est un objet". De manière ironique, bien sûr.
Comme d'habitude dans de tels cas, les réseaux sociaux ont eu aussi repris l'affaire. Et le fameux effet boule de neige est arrivé : "C'est évidemment bon pour la publicité, mais à quel prix ?», a ainsi twitté la chercheuse en communication Mélanie James.
Cependant, une minorité a aussi défendu le concept, en grande partie les invités présents à la soirée ! "Les filles se sont amusées. Personne n'a été forcé de faire quoi que ce soit. Il y avait des mannequins hommes et femmes. C'était une bonne soirée", a indiqué l'un d'entre eux.
Le Cruise Bar n’a pour l’heure pas répondu aux critiques. Sûrement pour ne pas jeter de l'huile sur le feu...
La scène s’est déroulée dans le quartier branché de Darling Harbour, à Sydney. Les jeunes femmes, embauchées pour l'occasion, étaient allongées quasi-nues sur les tables, pour présenter des fruits posés sur elles, placés même dans certaines zones intimes ! À côté d’elles, se trouvaient également des fontaines de chocolat, pour y tremper les fruits récupérés à même leurs corps. Beaucoup n'ont pas tardé à réagir.
Ainsi, ce qui devait au départ être une soirée bobo-hypsto-branché s'est vite transformée en mini-bad buzz pour l'établissement. Certains politiques locaux y sont allés de leur remarque, à l'image de Jane Oakley, ancienne responsable des Verts de l'État de Nouvelles Galles du Sud, qui a remercié le bar de "montrer ainsi si ouvertement son mépris pour les femmes, et de faire perdurer le cliché dégoûtant que le corps des femmes est un objet". De manière ironique, bien sûr.
Comme d'habitude dans de tels cas, les réseaux sociaux ont eu aussi repris l'affaire. Et le fameux effet boule de neige est arrivé : "C'est évidemment bon pour la publicité, mais à quel prix ?», a ainsi twitté la chercheuse en communication Mélanie James.
Cependant, une minorité a aussi défendu le concept, en grande partie les invités présents à la soirée ! "Les filles se sont amusées. Personne n'a été forcé de faire quoi que ce soit. Il y avait des mannequins hommes et femmes. C'était une bonne soirée", a indiqué l'un d'entre eux.
Le Cruise Bar n’a pour l’heure pas répondu aux critiques. Sûrement pour ne pas jeter de l'huile sur le feu...