Photographiée sur une période de trois ans, la série « COVERED » d'Alan Powdrill jette un regard intéressant sur la culture du tatouage et la perception que nous avons des personnes portant des dessins sur leur corps.
Crédit : Alan Powdrill
Alors que les tatouages sont devenus de plus en plus courants, le vieil adage selon lequel « il ne faut pas juger un livre à sa couverture » est pleinement démontré par les images de Powdrill de personnes presque entièrement tatouées, avec et sans leurs vêtements.
En photographiant et en interviewant 40 personnes à travers l'Angleterre, Powdrill nous met au défi de reconsidérer nos idées préconçues sur la signification des tatouages. Bien qu’il ait une longue histoire en Grande-Bretagne, notamment car ils y ont été introduits par la culture victorienne via les marins et les membres de l'armée, cet art peut également être stigmatisé et montrer du doigt par certaines personnes, que ce soit volontairement ou plus inconsciemment. Mais il est certain qu'au fil du temps, ce que signifie avoir un tatouage a énormément évolué et heureusement.
Deux photos par personne et un avant/après qui révèle des tatouages incroyables
Alan Powdrill, qui a rencontré tous les participants qu’il a photographiés pour sa série « COVERED » soit par le biais des réseaux sociaux, soit à l’occasion de salons de tatouage soit par du bouche-à-oreille, a demandé à chacun de poser en deux temps. Et c’est justement ce qui crée un contraste particulièrement saisissant. L'une des images montre les participants entièrement vêtus comme monsieur et madame Tout-le-Monde, tandis que l'autre les dépeint montrant fièrement leur corps recouvert de tatouages dont certains très colorés.
Voici quelques photos de la série de clichés du photographe britannique :
Crédit : Alan Powdrill
Crédit : Alan Powdrill
Crédit : Alan Powdrill
Crédit : Alan Powdrill
Crédit : Alan Powdrill
Crédit : Alan Powdrill
Crédit : Alan Powdrill
Crédit : Alan Powdrill
Crédit : Alan Powdrill
Crédit : Alan Powdrill
Crédit : Alan Powdrill
Crédit : Alan Powdrill
Crédit : Alan Powdrill