Des chats ont récemment été sauvés alors qu'ils s'apprêtaient à être vendus à des retaurants chinois pour y être mangés. Attention, les images peuvent heurter la sensibilité de certains.
Ce sont des images difficilement soutenables et qu’on n’aime pas voir !
Des centaines de chats volés, destinés à être mangés, ont été sauvés d’une fin atroce en Chine, après avoir été découverts au fond d’une cour répugnante dans un hôtel miteux, entassés dans des cages rouillées.
La scène abjecte s’est déroulée dans la ville de Linfen (Province de Shanxi), au nord du pays.
Ces chats « attendent d’être servis comme nourriture, aidez-les ! »
Sur des images filmées par une certaine Mme Li - qui passait par là et qui, choquée par ce qu’elle a vu, a donné l’alerte -, on aperçoit les pauvres félins apeurés miauler de désespoir.
« Ils attendent d’être servis comme nourriture, aidez-les ! », s’exclame alors la jeune femme qui commente le spectacle sordide auquel elle assiste.
Selon le Daily Mail, il semblerait que ces chats aient été volés par des trafiquants d’animaux qui avaient prévu de les vendre à des restaurants, afin que leur viande soit servie aux clients.
Condamnés à être mangés, ils ont finalement pu être sauvés in extremis grâce à l’intervention de cette fameuse Madame Li.
Partisane de la cause animale, cette dernière a en effet partagé sa terrible vidéo en ligne et son appel à l’aide a été entendu par l’association locale de protection des animaux, « Linfen Small animal Rescue », qui s’est rendue sur les lieux ce jeudi.
Ses membres ont expliqué qu’ils avaient sauvé environ 700 chats avant de les confier à des bénévoles, en attendant de les reloger. Ils sont aujourd'hui en sécurité et attendent d'être confiés à des familles aimantes.
Crédit photo : Linfen Small Animal Rescue
Crédit photo : Linfen Small Animal Rescue
L’association a par ailleurs diffusé une vidéo qui montre l’intervention de la police dans l’hôtel, peu de temps après le signalement.
Les autorités locales ont indiqué qu’une enquête avait été ouverte pour déterminer l’ampleur de cet odieux trafic.
Ce fait divers intervient alors que la Chine, toujours menacée par la tant redoutée seconde vague de coronavirus, a pourtant pris une série de mesures pour tenter d’endiguer le trafic d’animaux