Anya Taylor-Joy, star de la série « Le Jeu de la dame », n’a pas caché son désir d’incarner son personnage dans une saison 2, si on lui proposait.
Depuis sa mise en ligne en octobre dernier, « Le Jeu de la dame » cartonne sur Netflix. Cette mini-série américaine de sept épisodes retrace le parcours d'une joueuse d'échecs prodige.
Malgré son succès, « Le Jeu de la dame » ne fera pas l’objet d’une deuxième saison, au grand dam des téléspectateurs et des acteurs de la série, notamment Anya Taylor-Joy.
Anya Taylor-Joy aimerait rejouer son personnage
Dans une interview accordée au magazine Town & Country, l’interprète de Beth Harmon a déclaré qu’elle ne serait pas contre l’idée de rempiler pour une deuxième saison : « Si j'ai appris quelque chose de cette industrie, c'est bien de ne jamais dire jamais », a-t-elle indiqué.
Avant d’ajouter : « J'adore ce personnage, et je la rejouerais sans aucun doute si on me le demandait. Mais je pense que l'on a laissé Beth dans un bon endroit. Le reste de sa vie sera certainement une grande aventure mais aussi une quête pour trouver une forme de paix avec qui elle est. Je pense que la série prend fin au bon endroit ».
Crédit Photo : Netflix
De son côté, Harry Melling (Harry Beltik dans le Jeu de la Dame) partage le même enthousiasme que l'actrice : « Ce serait bien, non, une saison 2 pour Le Jeu de la dame ? Sauf que l’histoire racontée dans la mini-série prend fin là où le livre s’arrête. Je ne sais pas s’il peut y avoir une suite, mais on a vu des choses beaucoup plus étranges se produire parfois », a-t-il confié.
Vous l’aurez compris, la suite la série n’est pas près d’arriver sur la plateforme de streaming. Pour rappel, cette fiction est tirée du roman « The Queen’s Gambit », écrit par l’auteur américain Walter Tevis, en 1983.
Crédit Photo : Netflix
Comme dans la série, le livre relate l’histoire d’une jeune orpheline qui se prend de passion pour le jeu d’échecs dans les années 60. Adolescente, elle remporte le titre de champion des États-Unis avant d’affronter les plus grands maîtres de l’Union soviétique.