Huit ans après son premier bulletin météo futuriste, la présentatrice Evelyne Dhéliat a dévoilé les nouvelles prévisions pour 2050. Avec des températures allant jusqu’à 48°, la situation est très alarmante.
Souvenez-vous : en 2014, la présentatrice météo Evelyne Dhéliat a dévoilé une carte des températures en France en 2050. Basée sur des estimations scientifiques, cette carte estimait les températures dans le pays en cas de forte canicule, qui dépassaient rarement les 40°.
Crédit photo : TF1
Si à l’époque, ces températures avaient choqué de nombreux Français, elles ne semblent plus si inconcevables que cela aujourd’hui. La météo pourrait même être encore pire que ce qui avait été annoncé en 2014.
Une météo alarmante pour 2050
Huit ans plus tard, Evelyne Dhéliat a présenté de nouvelles prévisions pour 2050 et les résultats sont très inquiétants. En cas de canicule dans 28 ans, les températures seront supérieures ou égales à 40°. Il fera jusqu’à 48° à Nîmes, 45° à Bordeaux et 44° à Paris. S’il fera moins chaud dans le nord de la France, avec 37° à Brest, on observe une réelle augmentation par rapport au bulletin de 2014, qui prévoyait une température de 26°.
« Cela vous paraît peut-être excessif, et pourtant ! Souvenez-vous de ce que l’on a vécu l’été dernier, sans parler des records absolus de 2019 », a rappelé Evelyne Dhéliat lors de son bulletin météo.
En 2014, @EvelyneDheliat nous dévoilait les prévisions pour août 2050 en cas de forte canicule.
— TF1Info (@TF1Info) October 26, 2022
8 ans plus tard, avec Météo France, Evelyne #Dheliat renouvelle l’exercice avec de nouvelles projections de températures pour le mois d'août 2050.
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La présentatrice n’a pas tort puisque cette année, il a fait jusqu’à 39,3° à Brest et 41,1° à La Rochelle. En 2019, on a enregistré 46° dans l’Hérault et 42,6° à Paris.
« Tous ces exemples du passé nous prouvent bien l’accélération du réchauffement climatique et la nécessité d’agir pour notre planète », a conclu la présentatrice, alarmiste.
Ces températures, bien supérieures à celles imaginées en 2014, nous prouvent une nouvelle fois l’urgence de la situation et mettent en lumière l’accélération du réchauffement climatique.