Les 9 aliments les plus dégueu que l'on puisse trouver sur Terre : attention, faut avoir l'estomac solide !

 Ces 8 aliments sont vraiment les plus dingues que l’on puisse trouver sur terre : préparez vous à être étonné (et un peu dégoûté, quand même).


Avez-vous déjà tenté de manger des plats qui en apparence étaient peu ragoûtants ? Nous sommes tous passés par ça. Et c’est pénible, pas vrai ? On n’ose pas y planter sa fourchette, de peur que le plafond ne s’effondre sur nous et que l’on se transforme nous-même en bouillie de la même consistance que celle que l’on s’apprête de manger.

Sachez que vous ressentirez la même chose en découvrant les 9 aliments qui vont suivre. Et c’est même bien pire que ça : ils sont immondes à un point inimaginable. On espère que vous ne mangez pas actuellement !

1. Un vin... de souris.
@effectum
Probablement l’invention la plus incompréhensible de tous les temps. Ce vin chinois et coréen serait « tonique pour la santé ». Et on espère au moins ça, car une épreuve de Koh-Lanta ferait pâle figure à côté de ÇA : du vin avec des bébés souris tout au fond. Assez angoissant. Si on vous offre une somme indécente à la clé, vous en buvez ?


2. Des entrailles au menu d’aujourd’hui. MIAM.
@myfilipinkitchen
Les entrailles d’animaux contiennent le cœur, le foie, le gésier, et d’autres organes d’une volaille. Aux États-Unis, elles sont souvent utilisées pour constituer des farces et on s’en sert aussi pour réaliser des tartes aux entrailles en sauce. Oui, des TARTES.


3. Des vers en guise d'apéritif.
@ranker
Plusieurs études ont démontré que manger des vers de terre nous maintiendrait en bonne santé. Lorsque les bactéries contenues dans les vers pénètrent dans le corps, le système immunitaire n’en deviendrait que plus fort. D’accord, c’est bien gentil, tout ça, mais ça nous tente moyennement, quand même. On préfère largement nos chips.


4. De la tête de mouton pour digérer.
@Tumblr
Avez-vous déjà rêvé d’être en totale communion avec votre nourriture ? Au point que celle-ci vous dévisage ? Car c’est exactement la sensation que vous ressentirez en mangeant la tête de ce mouton. Le sentiment de culpabilité est palpable, vraiment palpable. 


5. Le boodog mongolien, une spécialité culinaire à tester.
@Swag
Prenez une chèvre (ou une marmotte, en fonction de vos préférences) et faites cuire le corps avec des pierres (oui, vous avez bien lu), des oignons, et du sel dans l’estomac. Quand la graisse commence à suinter de la peau de l’animal, vous pouvez déguster. Vous nous direz si c’est bon.


6. De la gelée de nez d’élan, un plat délicat et raffiné.
@thevaliens
Ce plat, venu du Canada, est une gelée réalisée à partir du nez d’un élan. Le but, c’est de faire bouillir le nez et les bajoues, d’ajouter quelques oignons, du bouillon de poulet et de le laisser refroidir. Gé-nial. Vraiment.


7. Des fruits pour le dessert : goûtez du durian !
@ranker
Ce fruit, venu d’Asie du Sud, a une particularité bien à lui. Personne ne sait vraiment comment décrire son odeur, si singulière, si… puissante. L’écrivain Richard Sterling a écrit, dans son ouvrage, que l’odeur du durian ressemblait à celle des « excréments de porcs, de térébenthine et d’oignon, le tout garni par une vieille chaussette ». Ambiance, ambiance. On vous laisse en penser ce que vous voulez.


8. Ou alors une bonne glace ?
@chambre237
Non, cette glace n’est pas aux fruits des bois, le tout recouvert de coulis de framboise. Ce serait trop beau pour être vrai… Il s’agit en réalité de graisse de renne, d’huile de phoque et de la neige fraîchement tombée. Et du poisson pour couronner le tout. Ah, ce mariage nous ouvre complètement l’appétit, c’est clair !


9. Un fœtus mort pour la route ?
@Youtube
Qu’est-ce que c’est que ça ?! Il s’agit du balut, une spécialité asiatique. C’est en fait un œuf de canard avec un embryon presque développé en lui. Comment est-ce possible de manger ceci ? Eh bien, on part du même principe qu’un œuf. On le cuit, on le trempe dans de l’eau, puis on le mange. Il suffit de le casser en deux, et vous verrez un petit canard presque développé, avec des plumes et un bec. Pour rappel, ce plat avait fait les belles heures d’une des étapes de Pékin Express en 2012, et les candidats s’en souviennent encore ! Même sous la torture, on ne mange pas ça, jamais !
Source : Ranker
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Journaliste