Le premier enfant né au Chili en cette année 2022 porte un prénom pour le moins… surprenant. Les parents, tous deux fans de football, ont chacun choisi un prénom composé en hommage à deux footballeurs français.
Crédit : Servicio Salud Atacama/ Twitter
Comme chaque 1er janvier, le centre hospitalier de Copiapó, dans le nord du Chili, a dévoilé le prénom du premier né de l’année. C’est donc sur le compte twitter du service de santé de Atacama (le désert près duquel se situe le centre hospitalier) que le prénom, pour le moins original du bébé, a été dévoilé :
« Nous saluons chaleureusement Griezmann Mbappé, le premier bébé à naître à l'hôpital de Copiapó en 2022. Un gros câlin pour lui et sa mère Teodora pour l’arrivée de ce fils, qui est né ce samedi 1er janvier à 21h09, pesant 3,064 kg et mesurant 50 cm ».
Muchas felicidades
— Servicio Salud Atacama (@SSaludAtacama) January 2, 2022
Saludamos con mucho cariño a Griezmann Mbappé,primer bebé en nacer en el @hospitalcopiapo este 2022
Un gran abrazo para él y su madre Teodora por la llegada de su hijo quien nació este sábado 1/1 a las 21:09 horas,pesó 3064 grs y midió 50 cm#Atacama pic.twitter.com/AsC81Rc6JW
Une association de prénoms populaire à l'internationale
Crédit : Franck Fife/ AFP
Si le patronyme du nouveau-né peut faire sourire, il s’agit en revanche d’un choix bien réfléchi pour ses parents. La maman, jeune bolivienne qui vit au Chili, et son compagnon sont des fans inconditionnels de football. Un sport roi comme une religion en Amérique du Sud.
Ainsi, le média chilien T13 qui rapporte l’information indique que le papa est à l’origine du prénom Griezmann, attaquant star de l’équipe de France et de l’Atletico Madrid. Tandis que Teodora a eu l’idée d’attribuer à son fils le nom de son partenaire en sélection nationale, Mbappé.
La paire d’attaquants français est populaire auprès de jeunes parents fans du ballon rond. En 2018, un couple de Français s’était vu refuser le droit d’appeler leur enfant Griezmann Mbappé par la justice française.
Crédit : Servicio Salud Atacama/ Twitter
Crédit : Servicio Salud Atacama/ Twitter