Recueilli par des moines boliviens, ce petit chien errant est la mascotte de son monastère

Cap sur la Bolivie, où un monastère compte dans ses rangs un drôle de membre puisqu'il s'agit d'un... chien. Abandonné à son triste sort, ce dernier a en effet été adopté par une communauté de moines qui lui ont offert un foyer aimant.

La vie d’un monastère a de quoi en démoraliser plus d’un, tant elle est austère, mais pour un chien errant, cela ressemble à un véritable paradis sur terre.

S’il pouvait parler, le petit Carmelo pourrait en témoigner !

Abandonné par ses propriétaires, cet adorable schnauzer a ainsi été recueilli il y a 4 ans par des moines franciscains de Cochabamba, ville située au centre de la Bolivie.

Crédit photo : Narices Frias

Recueilli par des moines, un chien devient la mascotte de son monastère

C’est donc au sein du monastère Saint-François d’Assise - jadis réputé pour un être un saint défenseur des animaux - que le petit chien a entamé sa nouvelle vie.

Et le nouveau venu est tellement apprécié par les religieux que ces derniers l’ont rebaptisé Friar Bigoton, que l’on peut traduire par « frère moustache ».

Comme il est désormais un membre à part entière de la fraternité, Carmelo porte lui aussi l’habit traditionnel, la soutane, et participe activement à la vie de la petite communauté.

Son adoption a été rendue possible grâce à l’action d’une organisation locale baptisée Proyecto Narices Frias (« Projet nez froid ») qui œuvre pour sauver les animaux errants et leur offrir une vie meilleure.

Dans le cas de Carmelo, on peut dire qu'elle a réussi sa mission ! 


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Au sujet de l'auteur :

Évoluant dans la presse web depuis l’époque où celle-ci n’en était encore qu’à ses balbutiements, Mathieu est un journaliste autodidacte et l’un de nos principaux rédacteurs. Naviguant entre les news généralistes et les contenus plus décalés, sa plume s’efforce d’innover dans la forme sans jamais sacrifier le fond. Au-delà de l’actualité, son travail s’intéresse autant à l’histoire qu’aux questions environnementales et témoigne d’une certaine sensibilité à la cause animale.