Récemment, une Écossaise a retrouvé son chat disparu il y a 17 ans. C’est la puce électronique de l’animal qui est l’origine de ces retrouvailles.
En 2004, Kim Collier, infirmière vétérinaire, a vécu un véritable enfer lorsque sa chatte Tilly a disparu après son déménagement en Écosse. La boule de poils était introuvable, mais sa maîtresse a continué de mettre à jour les informations essentielles figurant sur la puce électronique de l’animal.
Crédit Photo : Mirrorpix
Elle retrouve sa chatte 17 ans après sa disparition
Mardi 8 mars, Kim Collier a reçu un appel de la part de l’association « Scottish Society for Prevention of Cruelty to Animals » (SSPCA). Au téléphone, l’organisme lui a demandé si elle connaissait un chat connu sous le nom de Tilly. Stupéfaite, cette dernière a indiqué qu’il s’agissait de son animal de compagnie disparu depuis de longues années.
« C’était une sensation très étrange (…) Mon monde a été bouleversé mais dans le bon sens », a confié l’Écossaise de 39 ans au Daily Record. Le félin a été retrouvé dans la zone où il s’était volatilisé il y a 17 ans. Sa micropuce a permis de retrouver sa propriétaire.
Kim et Tilly. Crédit Photo : Mirrorpix
La SSPCA a été contactée par une femme inquiète qui avait repéré la chatte en piteux état. Après les retrouvailles avec sa maîtresse, Tilly a été transférée dans une clinique vétérinaire. Cette dernière - qui s’apprête à souffler ses 20 bougies - souffre d’un cancer de la vessie.
Aujourd’hui, le quadrupède vit ses derniers jours dans l’unité des soins palliatifs. De son côté, Kim Collier espère le ramener à la maison pour qu’ils puissent vivre ce moment ensemble : « Je ne vais pas l’abandonner. Le personnel de la clinique est très gentil avec Tilly (…) Elle est très gâtée ».
Crédit Photo : Mirrorpix
Malheureusement, l’état de santé de la chatte ne s’améliore pas : « L'essentiel est qu'elle soit en sécurité et que les vétérinaires lui prodiguent des soins extraordinaires. Nous savons que le résultat n'est pas génial, mais je veux juste qu'elle soit à l'aise ».