Aux États-Unis, un ours noir affamé s’est introduit dans le garage d’une pâtisserie dans le but de s’offrir un véritable festin. L’ursidé, un brin trop gourmand, a dérobé une soixantaine de cupcakes avant de s’enfuir.
Crédit Photo : tastebyspellbound / Instagram
Mercredi 24 mai, un ours noir affamé s’est introduit dans le garage d’une pâtisserie d’Avon, dans le Connecticut (États-Unis). Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’animal avait une faim de loup. En effet, l’ursidé a dérobé soixante cupacakes avant de s’enfuir.
Ce jour-là, le personnel de l’entreprise était en train de charger une cargaison de gâteau dans un van lorsque le prédateur a pointé le bout de son museau dans le garage.
Face à cette situation, une employée ayant assisté à la scène s’est mise à «hurler comme si elle était en train d’être tuée», a indiqué la propriétaire de l’établissement sur sa page Instagram.
Le mammifère s’est offert un festin sucré
Toujours selon ses dires, sa collaboratrice a poussé des cris pour tenter l’effrayer l’ours, sans succès. Au total, le plantigrade a tenté à trois reprises de subtiliser une boîte de cupcakes avant de réussir son coup.
Comme le précise le magazine Insider, l’ours a chargé la jeune femme avant de sortir du garage avec son butin. Par chance, cette dernière n’a pas été blessée. De son côté, l’ours s’est rendu sur le parking voisin pour pouvoir y manger les petits gâteaux.
Crédit Photo : tastebyspellbound / Instagram
Finalement, c’est l’avertisseur sonore d’un véhicule qui a réussi à faire fuir l’animal sauvage pour de bon. Le voleur à quatre pattes avait totalement disparu lorsque les services de police et de protection de l’environnement sont arrivés sur les lieux.
Vous l’ignorez peut-être, mais l’État du Connecticut abrite entre 1000 et 1200 ours noirs sur son territoire. Le mois dernier, une femme âgée de 74 ans a été attaquée par un ours alors qu’elle était en train de promener son chien.
Crédit Photo : istock
Au total, deux attaques impliquant des ours noirs ont été recensées dans le Connecticut : «La fréquence et l’intensité des interactions entre ours et humains augmentent», a déclaré ce vendredi un porte-parole du département fédéral de l’énergie et de la protection de l’environnement.