Les années passent et vous prenez inévitablement de l’âge. Voici 8 situations qui prouvent que vous êtes devenus « vieux », et que vous n’avez plus de compte à rendre à personne.
Naturellement, lorsque vous prenez de l’âge, vos habitudes changent, tout comme votre état d’esprit et votre perception sur le monde qui vous entoure. Des changements pas très radicaux puisque vous restez, au fond de vous-même, la même personne.
Évidemment, on dit que plus on avance dans le temps, plus on mûrit. Face aux épreuves, vous accumulez les expériences et, conjointement, les leçons que vous en tirez. Vous comprenez que vous avez perdu beaucoup de temps à essayer ci et ça, à être comme tel, histoire de bien paraître aux yeux des autres.
Seulement voilà, en prenant de l’âge, on aborde certaines situations d’une manière bien différente que l’on faisait 10 ans auparavant. Notamment, il y a cette impression qui grandit en vous, vous faisant comprendre que vous n’avez plus vraiment de comptes à ne rendre à personne. Vous avez bien vécu, vous avez votre propre vie, vos propres leçons et vos propres priorités. Personne ne vous jugera…
La bloggeuse Michelle Combs, auteure pour le Huffington Post, âgée de 52 ans, s’est confiée la première sur les changements qui surviennent avec la maturité. Un article touchant, qu'on a décidé de vous retranscrire ici.
Voici 8 situations dans lesquelles vous vous reconnaîtrez sûrement si vous avez pris de l’âge :
Quand vous prenez de l’âge, vous prenez naturellement plus d’assurance. Avant, vous préfériez la jouer profil bas, vous effacer lorsque des débats s’envenimaient ou quand une injustice vous frappait en plein visage. Cela vous faisait grandir. Lorsque vous vous exprimiez, c’était surtout pour les autres, pas pour vous. Aujourd’hui, plus rien d’autre ne compte que vous-même, et quand quelque chose ne vous plaît pas, vous n’hésitez pas à le dire.
En prenant de l’âge, le besoin de bien paraître et, accessoirement, de séduire, vous semble moins important. Vous avez du vécu, et ça plaide en votre faveur. Pas ce que vous portez ou la coupe de cheveux que vous arborez. Le plus important aujourd’hui, c’est de garder la santé et la bonne humeur. Ce que pensent les autres de votre apparence reste purement anecdotique.
3 – Vous aimez vos petits plaisirs coupables
Vous aimez votre petit verre de vin ou votre petit pot de glace avant d’aller dormir ? Vous préférez passer votre temps devant vos séries télé plutôt que d’aller faire un footing ? Vous préférez vous faire livrer un bon burger plutôt que vous faire une salade ? Vous avez passé l’âge de vous regarder dans la glace toutes les heures et de passer sur la balance ? C’est parce que vous vous faites simplement plaisir, avec les choses simples de la vie.
Vous n’étiez pas forcément un fan du shopping mais le diktat de la société où il faut être impérativement propre sur soi vous forçait à changer souvent de tenues. Quitte à accumuler les belles paires de chaussures qui, neuves, forment des ampoules sur vos pieds… C’est fini ça ! Prenez une paire qui vous durera plusieurs années, tant que vous vous y sentez bien. Et puis, quelle importance si vous ne portez pas les mêmes chaussettes, tant qu’elles se ressemblent un peu. La fashion police ne court pas les rues mais seulement les podiums.
Vous grandissez sûrement avec le même pseudonyme que d’autres. « Range ta chambre ! Fais ton lit ! », etc.… Aujourd’hui, vous êtes beaucoup moins enclin à faire le ménage chez vous. Et ce n’est pas parce que vous aimez la saleté, c’est juste que vous êtes un peu désorganisé et que vous avez la flemme. Tant que vous arrivez à vous retrouver dans votre désordre, c’est le principal. C’est aux autres de s’adapter.
Dans notre jeunesse, la priorité que l’on nous impose est de rester « à la mode », « dans la tendance »… Au final, vous vous retrouvez avec une montagne de vêtements que vous ne portez même plus, et d’objets que vous n’utilisez plus. Aujourd’hui, vous vous contentez du minimum par rapport à vos besoins. En plus, ça fait faire des économies.
Que ce soit à l’école, durant vos études et même lors de vos premières années dans le monde du travail, vous vous sentez obligé de vous mêler au reste de vos « semblables ». Pourtant, vous avez pu vous rendre compte que vous ne pouvez pas être amis avec tout le monde et que, finalement, partager un repas avec quelqu’un que vous appréciez peu est une véritable perte de temps. Aujourd’hui, vous préférez largement vous retrouver seul tranquillement plutôt que d’être mal entouré. Et vous n’avez plus peur de faire ce choix-là.
Lorsque vous êtes jeune, vous avez ce sentiment que chaque rencontre que vous faites peut potentiellement vous apporter quelque chose d’intéressant. Puis, en prenant de l’âge, vous comprenez que les deux tiers des personnes ne vous ont pas apporté grand-chose. Dès lors, vous cessez de chercher le bon dans chacun, parce que cela peut surtout vous faire perdre du temps.
En conclusion, plus vous prenez de l’âge, moins vous perdez du temps en de choses futiles (qui, pourtant, étaient importantes à vos yeux par le passé).