@efectocine
Une fois la toile gonflée, un dispositif de vélos liés les uns aux autres va permettre d’alimenter le générateur du cinéma pendant la séance grâce à l’énergie humaine fournie en pédalant. Il faut compter une vingtaine de volontaires dans les spectateurs pour se relayer au cours de la projection. Oui, vous avez bien lu : il faut donc pédaler pour regarder ! « Les volontaires montent sur les vélos, pédalent, et quand ils en ont assez ils descendent et passent le relai à ceux qui attendent derrière » explique Diego Parodi, directeur d’Efecto Pedal.
Ecologique, convivial et sportif, l’Efecto Pedal permet de visionner des films en plein air dans un maximum de lieu car il ne demande pas d’électricité. Au-delà du rapport ludique que génère ce type d’installation, c’est également un moyen de sensibiliser les cyclistes cinéphiles et le public en général à l’utilisation d’énergies renouvelables.
« Les gens qui pédalent ne voient en général pas le temps passer. Et quand le film s’arrête, ils sont applaudis par les spectateurs, et s’applaudissent eux-mêmes car c’est une vraie fierté pour eux d’avoir participé », décrit Diego Parodi.
Au vu de son succès, l’invention Efecto Pedal s’exporte dans une partie de l’Amérique du Sud. Le cinéma est à la fois un lieu de partage et de socialisation où les opinons s’échangent dans un cadre de loisirs.
« Les gens qui pédalent ne voient en général pas le temps passer. Et quand le film s’arrête, ils sont applaudis par les spectateurs, et s’applaudissent eux-mêmes car c’est une vraie fierté pour eux d’avoir participé », décrit Diego Parodi.
Au vu de son succès, l’invention Efecto Pedal s’exporte dans une partie de l’Amérique du Sud. Le cinéma est à la fois un lieu de partage et de socialisation où les opinons s’échangent dans un cadre de loisirs.
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Et vous, seriez-vous prêt à pédaler devant votre prochain film ?