Carlos Ayesta et Guillaume Bression, photographes Français, ont convaincu d’anciens résidents des alentours de Fukushima de revenir et redécouvrir leur ancien cadre de vie. Des personnes immobilisées dans des lieux tout aussi figés. Une débâcle en « suspens » qu’ont voulu immortaliser les deux chasseurs de clichés. Et pour eux, il était hors de question de prendre de simples modèles, le rendu en aurait été altéré, tout comme la signification de reportage documentaire.
« Dans les zones comme Futaba, les habitants ont le droit de revenir un certain nombre de fois par an seulement… Et il fallait donc leur demander de griller un ticket pour nous » déclarait l’un des deux photographes au journal Libération.
Un travail, des démarches et allers-retours qui ont nécessité plusieurs mois.
Rappelons quelques chiffres de ce passé proche : le 11 mars 2011, c’est un tremblement de terre, un tsunami meurtrier ayant tué plus de 20 000 personnes, et un accident nucléaire ayant obligé plus de 110 000 Japonais à aller s’établir ailleurs.
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Dans le même ordre d'idée, retrouvez le travail du photographe Arkadiusz Podniesinski sur Fukushima !