En Angleterre, une femme n’a pas hésité à construire un véritable bar dans son jardin pour empêcher son mari de se rendre au pub. Au total, elle a déboursé plus de 15 000 euros pour atteindre son objectif.
Jayne Tapper est une femme pleine de ressources. La raison ? La britannique a construit un bar dans son jardin pour passer plus de temps avec son mari, qui avait l’habitude de se rendre au pub du coin.
Crédit Photo : Carters News
Dans un entretien accordé au Daily Mail, la mère de famille détaille les dessous de son projet surprenant : «Mon mari Paul, un ingénieur, a toujours aimé se rendre au pub local, et je n’ai jamais réussi à le garder à la maison».
Elle crée son propre bar pour rester auprès de son mari
Face à cette situation, la quadragénaire a mis au point un plan surprenant pour l’empêcher de sortir : «Je me suis dit : pourquoi ne pas créer mon propre pub ? Devenir ma propre propriétaire ?».
C’est dans ce contexte que cette dernière a décidé de construire un local dans son jardin. Une chose est sûre : elle n’a pas lésiné sur les moyens pour atteindre son objectif. Elle a déboursé 15 000 euros pour préparer et niveler le terrain et 3000 euros pour bâtir la cabane, sans compter la décoration.
Mais ce n’est pas tout ! Elle a également acheté un jeu Space Invader pour la somme de 750 euros. Elle a aussi imaginé le design et le logo du bar : «Nous avons trois bassets et un ami a pu nous créer un panneau sur la façade du pub, avec un de nos chiens, Rufus», explique-t-elle dans les colonnes du média.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le pub porte un nom symbolique : «The Doghouse Inn». Sans surprise, le local a rencontre un franc succès. Il faut dire que le cabane n’a rien à envier aux autres établissements.
Comme le rapporte la mère de famille, ses enfants - âgés de 21 à 26 ans - utilisent cet espace pour inviter leurs amis à passer la soirée avec eux. Son stratagème a fonctionné puisque son époux ne sort quasiment plus à l’extérieur.
«Le pub n’est pas seulement devenu une caverne pour Paul. J’aime aussi m’y rendre et je passerai volontiers la plupart de mes nuits dedans». Bravo madame !