En Angleterre, un ancien couple se dispute un jackpot de plus d’un million d’euros. La femme estime que son ex-compagnon n’a droit a rien car il n’a pas acheté le ticket gagnant.
L’argent peut briser un ménage. Cette histoire qui nous vient tout droit Angleterre illustre à merveille ce propos.
La raison ? Après avoir gagné un million d’euros à la loterie, une femme n’a pas hésité à quitter son compagnon. Mais ce n’est pas tout. Elle refuse de partager les gains, rapporte le tabloïd britannique The Sun.
Tout a commencé lorsque le couple de trentenaires décide d’acheter «ensemble» un jeu d’argent à la loterie Camelot, un magasin situé à Spalding, dans le Lincolnshire. Par chance, les deux tourtereaux tombent sur un ticket gagnant et remportent la coquette somme d’un million de livres sterling (environ 1 168 278 euros).
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Le moins que l’on puisse dire, c’est que le conte de fées s’est très vite transformé en cauchemar. Comme le précise le média anglais, la femme quitte son compagnon trois mois après avoir décroché le jackpot. Cette dernière décide alors de garder le pactole pour elle.
Sans réelle surprise, cette décision est un véritable coup de massue pour son ex. L’homme, quant à lui, explique que c’est son ex-petite amie qui a acheté puis gratté le ticket gagnant. Toutefois, il estime avoir une part de responsabilité dans cette victoire. Selon ses dires, c’est lui qui aurait poussé sa copine de l’époque à acheter le jeu de grattage.
«Ça devrait être 50-50»
De leur côté, les anciens propriétaires de la boutique avaient indiqué à l’homme que l’argent serait partagé. Pourtant, le 10 février dernier, le vainqueur malheureux a reçu une lettre du nouveau propriétaire de la loterie.
C’est dans ce contexte qu’il a découvert qu’il n’avait droit à rien. Selon le gérant, «seul le nom inscrit au dos du billet pouvait réclamer le prix».
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Furieux et déçu, le trentenaire a l’intention de se battre pour obtenir gain de cause. Pour ce faire, il envisage d’engager une action en justice. Il affirme que son ex-conjointe avait accepté de partager cet argent avant de changer d’avis après la rupture. Aujourd’hui, elle se considère comme la seule gagnante.
«Je suis sous le choc. Je peux ouvertement admettre que nous n’aurions pas obtenu ce ticket sans elle, mais elle ne l’aurait pas obtenu sans moi non plus. Je sais que c’est son compte bancaire qui l’a payé, mais moralement, ça devrait être 50-50».
Affaire à suivre…
