Depuis sa mise en rayon, la peluche Serge le Lapin, la mascotte du métro parisien, se vend comme des petits pains.
C’est ce qu’on appelle «casser la baraque». Fin juillet, une peluche au visage familier a fait son apparition dans les rayons. Il s’agit de Serge le Lapin, la célèbre mascotte de la RATP.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les produits dérivés à l’effigie du rongeur aux grandes oreilles rencontrent un franc succès.
Crédit Photo : Wikimédia
En effet, les produits se vendent comme des petits pains depuis quelques jours. Résultat : les exemplaires de la peluche - vendus au prix de 22 euros - sont victimes d’une rupture de stock, rapporte Le Parisien.
Comment expliquer un tel succès ?
«Il a une très grande notoriété. Comme à Londres ou à New York, on réalise que l’iconographie des métros historiques séduit beaucoup les acheteurs», explique le responsable de l’identité sonore et visuelle de la RATP.
«Le personnage plaît beaucoup»
Une chose est sûre : Serge le Lapin a encore de beaux jours devant lui. Comme le précise le spécialiste auprès de nos confrères, les ventes de produits dérivés ont explosé grâce à la campagne de promotion sur les quais.
On peut trouver les objets en ligne et dans les grands magasins comme le Bazar de l’Hôtel de Ville (BHV), les Galeries Lafayette et le Printemps.
«Le personnage plaît beaucoup. On en avait quelques dizaines, mais on a été dévalisé», confie une employée du BHV au site d’information.
Crédit Photo : RATP
Pour le moment, les fans du lapin peuvent encore acheter des casquettes, des pin’s, des chaussettes ou encore des mugs.
Pas de panique, les peluches seront bientôt de retour. Des carnets seront également de la partie.
«Le Lapin du métro est né le 15 février 1977 lorsque la dessinatrice Anne Le Lagadec (alors directrice de création chez ECOM) a choisi cet animal pour illustrer le message de prévention sur le risque de pincement de doigts dans les portes du métro, notamment auprès du jeune public (…) », peut-on lire sur le site de la RATP.
