Avis aux automobilistes : cette technique vous permet de repérer les voitures-radars dans tous les départements. Suivez le guide !
Depuis un dizaine d’année, ce radar est devenu le pire cauchemar des automobilistes. Vous avez trouvé ? Il s’agit des voitures-radars.
Comme nous le précisons dans cet article, ces véhicules banalisés sont conduits par des prestataires privés. Leur rôle ? Flasher en toute discrétion les conducteurs qui ne respectent pas les limitations de vitesse.
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Sans réelle surprise, les voitures-radars sont très difficiles à détecter. Néanmoins, il existe quelques techniques pour les repérer sur la route.
En effet, les voitures utilisées pour transporter des radars sont des modèles courants, comme des Peugeot 308, des Dacia Sandero ou encore des Renault Mégane.
Enfin, les véhicules concernés sont équipés d’un petit rectangle sombre collé en haut et au milieu de la vitre arrière.
Pour le moment, ces dispositifs sont déployés dans huit régions de France, note le site Merci pour l’Info. Ils feront leur apparition dans trois régions supplémentaires l’année prochaine : l’Auvergne-Rhône-Alpes, la Provence-Alpes-Côte d’Azuret l’Occitanie.
Voici comment repérer les voitures-radars
Pas de panique, il existe une astuce pour repérer les voitures-radars autour de vous. Pour ce faire, il suffit de cliquer sur le site Radar.privé.fr, nous apprend Le Journal du Net.
Comme le précise le média, ce site communautaire recense ces radars privatisés dans tous les départements, ainsi que leur plaque d’immatriculation.
«Sur ce site, vous trouverez la liste de toutes les voitures radars dont la conduite est confiée au privé et la liste des derniers véhicules repérés dans chacun des départements concernés», peut-on lire sur le site.
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Et, rassurez-vous, cette démarche n’enfreint pas la loi, comme l’affirme Maître Rémy Josseaume, avocat spécialisé dans le droit routier, auprès de nos confrères.
«Je ne vois pas ce qui est illégal. Dans une affaire similaire, j’ai défendu des automobilistes qui filmaient et partageaient la position des radars sur les réseaux sociaux. La Cour de Cassation nous a donné raison. Il n’y a pas d’infraction. Il y a la liberté de communiquer».