Les magasins Leclerc vont de nouveau proposer l’essence à prix coûtant, durant un mois. Détails.
Alors que les prix à la pompe ne cessent d’augmenter de manière exponentielle, représentant ainsi un gouffre pour le budget des automobilistes, les magasins Leclerc ont décidé de faire un geste en renouvelant leur opération de vente à prix coûtant.
Le groupe vient de l’annoncer officiellement dans un communiqué, publié ce mardi 2 février, en indiquant avoir pris la décision « de proposer à nouveau le carburant à prix coûtant chaque week-end dans les 713 stations-service de son réseau ».
L’opération débutera le samedi 5 février et devrait durer quatre semaines jusqu’au 6 mars prochain.
Nouvelle opération carburant à prix coûtant chez @Leclerc tous les week-ends du 5 février au 6 mars, pendant les vacances scolaires. https://t.co/ltJeDHpOQm a été l'enseigne la plus fréquentée par les Français en 2021 : ce n'est pas maintenant qu'on va les laisser tomber ! pic.twitter.com/t6NptDzFa3
— Michel-Edouard Leclerc (@Leclerc_MEL) February 2, 2022
Jusqu'au 6 mars, l'essence sera de nouveau proposée à prix coûtant chez Leclerc
Ce n’est pas la première fois que l’enseigne agit de la sorte pour donner un coup de pouce aux usagers de la route. Déjà en octobre dernier, une mesure similaire avait en effet été mise en place. À l’époque, d’autres groupes, comme Carrefour ou encore Casino avaient également franchi le pas.
Cette décision est tout sauf un hasard et devrait soulager bon nombre de Français alors que se profilent les vacances scolaires de février, une période traditionnellement marquée par d’intenses chassés-croisés sur les routes qui mènent aux stations de ski.
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« Nous décidons donc de proposer une nouvelle fois le carburant à prix coûtant pour protéger leur pouvoir d’achat (…) les prix de l’énergie, des produits alimentaires et des services continuent d’augmenter et de peser sur le budget des Français », a ainsi déclaré Michel-Édouard Leclerc.
Ce dernier milite par ailleurs pour une baisse des taxes sur le carburant, condition sine qua non pour baisser les prix à la pompe selon lui.
Une alternative pour l’instant exclue par le ministre des Finances, Bruno Le Maire.