Ce restaurateur turc a tenté d'envoyer un kebab dans... l'espace

Un homme a récemment essayé d'envoyer un kebab dans... l'espace et on vous explique pourquoi.

C’est un petit plat pour l’homme mais un bon de géant pour l’humanité, du moins c’est ce qu’un restaurateur turc croyait.

Yasar Aydin, tenancier d’un restaurant du côté d’Adana au sud de la Turquie, a tenté d’envoyer un kebab dans… l’espace pour célébrer le 61e anniversaire du premier voyage spatial habité de Youri Gagarine, le 12 avril 1961.

Mais l’opération ne s’est pas tout à fait déroulée comme prévu !

Crédit photo : capture d'écran

Il tente d’envoyer un kebab dans… l’espace !

Selon nos confrères du Huffington Post, l’intéressé a ainsi procédé à ce drôle de lancement le 9 avril dernier, après avoir fixé le sandwich sur un plateau qui était rattaché à une boîte conçue pour résister aux conditions de l'environnement spatial.

Le kebab a ensuite été lâché à l’aide d’un ballon gonflé d’hélium qui arborait un drapeau turc. Le restaurateur avait également pris soin de placer une caméra sur le dispositif afin d’immortaliser ce vol pour le moins atypique.

Ce dernier n’a toutefois pas été à son terme puisqu’après s’être élevé dans les airs jusqu’à 40 000 mètres d’altitude environ, le ballon a finalement éclaté au bout de 3 heures et le kebab a alors entamé une descente inexorable vers la terre, achevant sa chute dans la mer Méditerranée, à 121 kilomètres du lieu de lancement.

Les médias turcs ont rapporté que le restaurateur envisageait un nouveau lancement avec l’espoir peut-être d’atteindre enfin le firmament.


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Au sujet de l'auteur :

Évoluant dans la presse web depuis l’époque où celle-ci n’en était encore qu’à ses balbutiements, Mathieu est un journaliste autodidacte et l’un de nos principaux rédacteurs. Naviguant entre les news généralistes et les contenus plus décalés, sa plume s’efforce d’innover dans la forme sans jamais sacrifier le fond. Au-delà de l’actualité, son travail s’intéresse autant à l’histoire qu’aux questions environnementales et témoigne d’une certaine sensibilité à la cause animale.